Investissement immobilier : les choix à faire

 

L’investissement immobilier peut se révéler aujourd’hui particulièrement attractif. A condition de faire les bons choix avant d’investir.

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What Does “Market Value” Mean?

balance_money_houseWhen a real estate agent talks to you about listing your home, you’ll hear a great deal of talk about “market value,” but just what’s meant by that term? In this article, we’re only going to be considering your single family home, because different standards and calculation methods apply to commercial and investment property, but let’s examine what market value is, and how it’s determined.

Market Value of Single Family Homes

Put simply, a home’s market value is the price at which it should sell once it’s put on the market for a reasonable amount of time, which generally means thirty to ninety days.

Within that definition are two main variables that affect a home’s market value: the house itself, and the time period during which it’s to be sold. First, let’s look at the house itself. Every home sits in some kind of neighborhood, whether it’s in the middle of downtown or way out in the country, and the location of a house will have a large influence on its market value.

The neighborhood is important, but condition of the house is also an important factor when it comes to determining its market value. The nicest home in the neighborhood normally will have the highest market value, while a house that needs a great deal of renovation will be worth less, even if it’s in the best neighborhood in town.

The condition and location of a home will affect the market value in proportion to how quickly the owner wants to sell it. In order to attract a greater number of buyers and to sell the home more quickly, the price will need to be lower, which brings us to the second factor in the market value equation: time.

Regardless of where it may be located, if a house doesn’t sell with the one to three month marketing period, the chances are that it was overpriced. Even brand-new homes, in brand-new subdivisions, in the most desirable part of town won’t sell within thirty to sixty days if the price is too high. (On the flip side, if a home sells in a week or less, the chances are that the marketing price was too low. But most of the time, errors in calculating market value are made on the too-high side.)

Determining market value is both an art and a science, and a skilled real estate agent, armed with information about the area, other listings, and previous sales, can generally come quite close to a price that will get the home sold within one to three months. After all, it’s their job to help get you the best sales price possible – in a reasonable amount of time.

Source : http://www.canadarealestatedirectory.com/articles

 

MLS® Barometer – Residential Market

Fewer Buyers and More Sellers

There were 7,175 residential sales transactions concluded through a real estate broker in the Montréal Census Metropolitan Area (CMA) in the third quarter of 2012. This represents a 7 per cent decrease compared to the 7,755 sales concluded in the third quarter of 2011 and the first decrease in sales after four quarterly increases.

Tighter Mortgage Rules a Likely Culprit

Monthly data shows that sales began to cool in the Montréal area in the months of August (-7 per cent) and September (-17 per cent), while sales in July were higher than those of the previous year (+2 per cent). The drop in sales in August and September corresponds with the implementation of the federal government’s new, more restrictive rules governing mortgage loan insurance1. First-time buyers were most likely to be affected by these measures which came into effect on July 9.

Widespread Decrease in Sales

Sales decreased for all three property categories in the Montréal area in the third quarter of 2012 compared to the third quarter of 2011. Sales of single-family homes (4,167 transactions) registered the smallest decrease at 6 per cent, while condominium sales fell by 9 per cent (2,290 transactions). The 711 plex transactions concluded in the third quarter of 2012 represent a 13 per cent decrease in sales and the worst third quarter result since 2000.

Prices Continue to Increase

Despite the widespread drop in sales, property prices continued to climb in the Montréal CMA, but at a slower pace for condominiums which posted the most modest price increase since the fourth quarter of 2008. The median price of condominiums grew by 2 per cent to reach $230,000, that of single-family homes grew by 3 per cent to reach $277,750 and that of plexes increased by 5 per cent to reach $425,000.

Source : http://www.fciq.ca/pdf/Barometre_MLS/bar_2012_q3_mtl_a.pdf

Baromètre MLS® du marché résidentiel 3 trimestre 2012.

Moins d’acheteurs et plus des vendeurs dans la RMR de Montréal.

De juillet à septembre 2012, 7 175 transactions résidentielles ont été réalisées par l’intermédiaire des courtiers immobiliers dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal. Il s’agit d’une diminution de 7 % par rapport aux 7 755 ventes conclues au cours de la même période l’an dernier et du premier repli trimestriel observé après quatre trimestres de hausse.

L’effet probable des resserrements hypothécaires.

Les données mensuelles montrent que c’est un août (-7 %) et en septembre (-17 %) que l’activité s’est refroidie dans la région de Montréal, les résultats de juillet ayant été supérieurs à ceux de l’année précédente (+ 2 %). La baisse des ventes en août et en septembre correspond donc à l’entrée en vigueur des nouvelles règles plus restrictives de l’assurance-prêt hypothécaire. Les premiers acheteurs sont les plus susceptibles d’être affectés par ces mesures entrées en vigueur le 9 juillet dernier.

Baisse généralisée des ventes.

Le troisième trimestre de 2012 a été marqué par une baisse des ventes pour chacune des trois catégories de propriété dans la région de Montréal. L’unifamiliale (4 167 transactions) a connu le recul le moins prononcé avec une baisse des ventes de 6 %, alors que la copropriété (2 290 transactions) a enregistré un nombre de ventes de 9 % inférieur à celui du troisième trimestre de 2011. Les 711 plex vendus représentent, quant à eux, une baisse de 13 % et le pire résultat pour cette période de l’année depuis 2000.

La croissance des prix se poursuit.

Malgré la baisse des ventes presque généralisée, le prix des propriétés a poursuivi son ascension dans la région métropolitaine de Montréal, mais à un rythme plus faible cependant pour la copropriété où la croissance était la plus modeste depuis le quatrième trimestre de 2008. Le prix médian de la copropriété a augmenté de 2 % pour atteindre 230 000 $, celui de l’unifamiliale de 3 % pour se fixer à 277 750 $ et celui des plex de 5 % pour s’établir à 425 000 $.

Certains secteurs ont toutefois enregistré des hausses de prix beaucoup plus vigoureuses. Pour l’unifamiliale, par exemple, les secteurs de l’île de Montréal et de Laval se sont distingués par une même hausse de 6 %, grâce à une forte augmentation des ventes d’unifamiliales dans le secteur Centre (+13 %), qui inclut Westmount, Hampstead, Montréal-Ouest, Ville Mont-Royal et l’Île-des-soeurs, ainsi que dans les quartiers Duvernay (+63 %) et Sainte-Dorothée (+18 %).

Source : http://www.fciq.ca/pdf/Barometre_MLS/bar_2012_q3_mtl.pdf

«Home staging» – faire ou ne pas faire?

Alors que les délais de vente s’allongent, il est essentiel de présenter son logement sous le meilleur jour. C’est tout l’intérêt du «home staging», une pratique qui se développe.

Cela vous semblerait normal de vendre une belle voiture toute sale ou avec une grosse rayure? Eh bien, une maison ou un appartement, c’est pareil. Le home staging est une technique de mise en valeur d’un logement ou d’une maison pour mieux les vendre. La pratique consiste, entre autres, à désencombrer le logement, à en retirer les éléments de décoration trop personnels et à redonner un coup de fraîcheur aux murs et aux sols.  Il s’agit de neutraliser le logement, de le reconditionner pour que l’acheteur potentiel puisse immédiatement s’y projeter. Le cas de figure classique est celui d’un appartement occupé de longue date par des personnes âgées et qui correspond aujourd’hui au budget de jeunes couples. Pour peu qu’il y ait d’autres offres comparables, les biens trop «typés» trouveront difficilement preneur. Après avoir éliminé tous les éléments de décoration et de mobilier qui surchargent les pièces, les surfaces ont droit à un coup de neuf et les pièces sont parfois réaménagées avec une partie de l’ancien mobilier.

Un coût compris entre 0,5 et 4 % du prix de vente.

S’il s’agit de séduire le futur acheteur, ce n’est pas à n’importe quel prix. Normalement, la fourchette s’étend de 0,5 à 4 % du prix de vente. Les principes sont simples, il suffit d’avoir le temps et le courage de s’y mettre. Un peu d’huile de coude et quelques bras supplémentaires pour désencombrer les pièces. Puis il s’agit de réparer les petits dégâts habituels: robinet qui fuit, fenêtre qui coince, peinture écaillée… Une petite touche de déco sobre et le tour est joué. Parmi les astuces à moindres frais particulièrement appréciées par les acheteurs, il est recommandé de remettre à neuf la robinetterie, de relooker les pièces d’eau, de remplacer les anciens WC par des modèles récents. Et surtout de bien soigner la porte d’entrée, lieu de la première impression.

PRENEZ EN NOTE :  tous mes clients bénéficient de consultations gratuites pour le “HOME STAGING”!

Source : http://www.lefigaro.fr/immobilier/2012/09/28/05002-20120928ARTFIG00506-home-staging-un-bien-a-vendre-ca-se-prepare.php