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La fin de la double représentation
En utilisant le moteur de recherche immobilier www.Centris.ca, je vous montrerai toutes les maisons/appartements vendus dans le secteur au cours des 4 derniers mois et il vous sera immédiatement clair si vous donnez le bon prix pour une maison ou un appartement avec caractéristiques similaires, telles que l’année de construction, le nombre de chambres, de garages, etc.
Il y a beaucoup de subtilités que vous ne connaissez même pas, mais les manquer dans vos documents d’achat de maison peut vous coûter cher à l’avenir.
Avec mes 20 ans d’expérience en tant qu’agent immobilier, vous serez entre de bonnes mains et l’achat d’une maison restera dans votre mémoire non pas comme une situation stressante avec des nuits blanches, mais comme un événement agréable et significatif dans la vie.
Forecast for growth in property prices in Montreal in 2022.
In 2021, prices continued to rise both in Montreal and beyond in remote small towns. The issue of housing affordability has become critical in the Montreal region, especially for young families looking to buy their own home. Those who did not want to leave Montreal had to buy condos and 2-plexes to start at least somewhere and stop paying “someone else’s mortgage” for rental housing.
Selling for prices above the starting price is no longer surprising. As a result, more than 50% of real estate was sold for more than the initial price. Those who bought a house, condo or 2-plex 5 years ago are in a fortunate position and can afford to move on by selling their homes and buying the best.
But what about those who did not buy real estate 5 years ago and are desperately watching the rise in prices, realizing that they have to pay twice as much today? So, buy or wait?
Prices in Montreal are already near their highs, and most likely will not rise as much in 2022. The same cannot be said about the prices in the cities adjacent to it. If the average price for houses in Montreal increased by 23% in 2021, then in 2022 prices will continue to rise, but by no more than 1%, analysts say. The rise in condo prices in 2022 will also slow down and amount to 3%. My advice: if you can’t buy a home in Montreal itself, look at what you can count on in the surrounding area.
Canada in general, and Quebec in particular, due to its economic strength and financial stability, will continue to attract many immigrants. Quebec is currently the economic powerhouse of the country thanks to huge investments in its infrastructure and diversified economic structure. Therefore, in 2022, one should not expect a decline in property prices. In addition, many immigrants buy real estate in Montreal without a mortgage, so they will not be hindered by an increase in mortgage interest.
All analysts agree that there will be a large shortage of offered real estate for sale, which cannot but affect the rise in prices. The government is of course trying to slow down the rate of price growth. So, the Bank of Canada has already announced an increase in mortgage interest in 2022 in the hope of slowing down the rise in real estate prices and allowing native Canadians to buy their own homes.
Still have questions? Planning to sell or buy? Call +1-514-999-9260, ask me a question here on the site or write to my email
Prévisions de croissance des prix de l’immobilier à Montréal en 2022.
En 2021, les prix ont continué d’augmenter tant à Montréal qu’ailleurs dans les banlieues. La question de l’abordabilité de l’immobilier est devenue critique dans la région de Montréal, particulièrement pour les jeunes familles qui souhaitent acheter leur propre maison. Ceux qui ne voulaient pas quitter Montréal ont dû acheter des condos et des 2-plex afin de commencer quelque part et d’arrêter de payer « l’hypothèque de quelqu’un d’autre » pour un logement locatif.
Vendre à des prix supérieurs au prix de départ n’est plus surprenant. En conséquence, plus de 50 % des biens immobiliers ont été vendus à un prix supérieur au prix initial. Ceux qui ont acheté une maison, un condo ou un 2-plex il y a 5 ans sont dans une position privilégiée et peuvent se permettre d’aller plus loin en vendant leur maison et en achetant une meilleure.
Mais qu’en est-il de ceux qui n’ont pas acheté de condo ou de maison il y a 5 ans et qui regardent désespérément la hausse des prix, se rendant compte qu’ils doivent payer le double aujourd’hui? Alors, acheter ou attendre?
Les prix à Montréal sont déjà proches de leurs sommets et n’augmenteront probablement pas autant en 2022 qu’ils le font maintenant. On ne peut pas en dire autant des prix dans les villes adjacentes. Si le prix moyen des maisons à Montréal augmentait de 23 % en 2021, les prix continueront d’augmenter en 2022, mais pas plus de 1 %, selon les analystes. La hausse des prix des copropriétés en 2022 ralentira également et s’élèvera à 3 %. Mon conseil : si vous ne pouvez pas acheter une maison à Montréal même, regardez dans les environs.
Le Canada en général, et le Québec en particulier, en raison de sa force économique et de sa stabilité financière, continueront d’attirer de nombreux immigrants. Le Québec est actuellement la puissance économique du pays grâce aux énormes investissements dans ses infrastructures et sa structure économique diversifiée. Ainsi, en 2022, il ne faut pas s’attendre à une baisse des prix de l’immobilier. De plus, des nombreux immigrants achètent un bien immobilier à Montréal sans hypothèque, ils ne seront donc pas gênés par une augmentation des intérêts hypothécaires.
Tous les analystes s’accordent à dire qu’il y aura une grande pénurie de biens immobiliers à vendre, ce qui maintiendra la hausse des prix. Le gouvernement essaie bien sûr de ralentir le taux de croissance des prix. Ainsi, la Banque du Canada a déjà annoncé une augmentation des intérêts hypothécaires en 2022 dans l’espoir de ralentir la hausse des prix de l’immobilier et de permettre aux Canadiens d’acheter leur propre maison.
Vous avez encore des questions? Vous envisagez de vendre ou d’acheter? Appelez-moi +1-514-999-9260, posez-moi une question ici sur le site ou écrivez à mon courriel.
Sommes-nous dans une bulle immobilière à Montréal?
Diminution des transactions immobilières
La demande est toujours aussi forte pour l’immobilier à Montréal. Conséquence, le prix de certaines catégories de propriétés ont augmenté d’environ 20%, selon l’Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec (APCIQ) Comparativement au mois de novembre 2020, le nombre de transactions résidentielles a chuté de 17%, rapporte la base de données provinciale Centris des courtiers immobiliers, sur laquelle se base l’ACPIQ pour élaborer son rapport. En tant que telles, les inscriptions sur le système de Centris pour les propriétés à vendre ont également connu une baisse en novembre 2021, avec une diminution de 20% comparativement à 2020.
Des prix toujours en hausse
La hausse des prix médians des propriétés s’est poursuivie en novembre. En comparaison avec le mois de novembre dernier, cela représente une hausse de 21% pour les maisons unifamiliales, de 18% pour les copropriétés et de 15% pour les plex.
Sommes-nous dans une bulle immobilière à Montréal?
Historiquement, il y a eu peu de bulles immobilières au Canada. Est-ce qu’ici le ballon va continuer à se gonfler ou non ? Voici quelques pistes pour y voir plus clair.
UBS:
Basé en Suisse, UBS est la plus grande banque de gestion de fortune dans le monde. Dans son classement mondial des villes avec des bulles immobilières, Toronto est au 2e rang et Vancouver au 6e.
La SCHL/ Société canadienne, hypothèques et de logement :
Pour le deuxième trimestre, Toronto, Hamilton, Ottawa, Montréal, Moncton et Halifax présentaient des degrés de vulnérabilité élevés. Tous ces marchés avaient déjà un degré de vulnérabilité élevé au trimestre précédent, à l’exception de Montréal, où il était auparavant jugé modéré. Les prix des logements montréalais ont fortement augmenté et sont nettement supérieurs au niveau dicté par les facteurs fondamentaux comme le revenu du travail.
APCIQ/ Association professionnelle des courtiers immobiliers du Québec :
Il y a donc formation d’une bulle immobilière dans la grande région de Montréal, analyse Charles Brant. Cette bulle se caractérise, d’une part, du fait de l’incapacité de la majorité des premiers acheteurs à accéder à la propriété et d’autre part, la vulnérabilité des acheteurs expérimentés à un changement des conditions économiques dans la mesure où ces derniers sont de plus en plus endettés et dépendants de l’appréciation ou, au pire, au maintien de la valeur de leur(s) bien(s) immobilier(s). Nous croyons toutefois que cette situation est moins avancée que dans d’autres marchés canadiens dont la bulle est plus gonflée. Nous pensons que la hausse des taux d’intérêt sera salvatrice dans la mesure où elle parviendra à désamorcer la formation de cette bulle immobilière, évitant un revirement douloureux du marché, mais permettant plutôt la normalisation de ses conditions par certaines corrections de prix dans la région de Montréal et certaines agglomérations périphériques. À l’échelle du Québec, nous ne pouvons pas parler de bulle du marché de l’immobilier dans la mesure où plusieurs marchés connaissent un processus de rattrapage des prix ».