Canadian mortgage rates on the rise

croissanceSome of Canada’s major banks are starting to raise mortgage rates. RBC, Scotia Bank and TD have all increased some of their mortgage rates in the last month and RBC announced a second hike last week.

Everyone breathe.

For RBC, the four-year closed-rate mortgage is moving up 10 basis points to 3.39 per cent, five-year increase by 20 basis points to 3.6 per cernt, the seven-year by 20 basis points to 3.99 per cent, the 10-year is moving up by 30 basis points to 4.29 per cent.

When mortgage rates increase, homeowners, or those ready to buy, are often fearful, with reason.

However, it’s not all bad. Hopefully, we can get a little bit of perspective on the recent rise in Canadian mortgage rates.

These are still really good rates

In November 2008, the monthly average mortgage rate for a conventional five-year mortgage in Canada was 7 per cent. Since the 2008 crash, we’ve been a bit spoiled with artificially low mortgage rates. A five-year closed rate of 3.69 per cent is still low, historically speaking.

Rising mortgage rates are a double-edged sword

Rising mortgage rates are a signal of a stabilizing economy in North America, which we’ve all been rooting for since 2008. A stabilizing economy means increases in employment, incomes and hopefully stock markets. These are good things that should help families offset the effect of mortgage hikes.

These are very small hikes

The largest increase announced is 30 basis points on the RBC 10-year closed mortgage. That’s three tenths of a percent. We aren’t talking full percentage swings over night. Small rises in mortgage rates can be a signal of upward trends, but at least they give home owners time to speak with their mortgage specialist and lock down a rate that allows them to sleep at night.

Most mortgage rates are set by banks

Mortgage rates are set by each individual bank, based on supply and demand. Banks who have not yet raised rates may hold off on a rate increase to see how their competitor’s decisions plays out.

How to survive a mortgage rate hike

  1. Purchase a home you can afford, even when rates rise. The bigger your mortgage, the more effected you are.
  2. Aim to have a 20 per cent down payment to ensure that you’re not over leveraged.
  3. Start paying down consumer debt to free up additional cash flow for your household.
  4. Sit down with a mortgage specialist and ask for a rate hold, which you can always cancel if you need to or lock in a historically low rate.

SOURCE : http://globalnews.ca/

Taux directeur sans modification.

BANKOFCANADA

Le gouverneur sortant Mark Carney n’a apporté aucune modification au taux directeur lors de la dernière annonce de la Banque du Canada. La Banque a affirmé que la « croissance canadienne au premier trimestre a été plus forte que prévu, que les dépenses de consommation devraient progresser à une cadence modérée, que les investissements des entreprises devraient croître solidement et que l’inflation devrait demeurer faible ». La Banque a également fait remarquer que « la croissance de l’ensemble des crédits aux ménages ralentit ».

Comme elle l’a annoncé auparavant, la Banque a indiqué que nos faibles taux historiques « demeureront probablement appropriés pendant un certain temps » en raison de la faiblesse continue de l’économie, mais a laissé entendre que toute modification des taux future serait probablement une augmentation modeste.

Le taux préférentiel de la plupart des prêteurs devrait demeurer à 3 %, taux en vigueur depuis septembre 2010, soit près de trois ans.

La prochaine décision concernant les taux sera prise par la Banque le 17 juillet.

Les gens qui cherchent à acheter ou à refinancer en verrouillant leur taux devraient profiter des taux fixes qui sont encore à un faible niveau historique !

 

Durées Taux Courants Nos Taux
6 MOIS 4.00% 3.95%
1 AN 3.00% 2.65%
2 ANS 3.04% 2.69%
3 ANS 3.55% 2.65%
4 ANS 4.54% 2.89%
5 ANS 5.14% 2.89%
7 ANS 6.35% 3.49%
10 ANS 6.75% 3.69%

Avertissement – les taux sont sujets à changement. Sur approbation du crédit, sauf erreurs et omissions.

Source : intelligence_hypo

États-Unis: les ventes de maisons à un sommet de trois ans et demi

statisticsLes ventes de maisons déjà habitées aux États-Unis ont augmenté le mois dernier pour atteindre leur niveau le plus élevé en trois ans et demi, aidées par un bond dans le nombre de maisons à vendre.

La National Association of Realtors, l’organisation américaine des agents immobiliers, a indiqué mercredi que les ventes de maisons ont augmenté à un taux désaisonnalisé de 4,97 millions, en hausse par rapport à 4,94 millions en mars.

Les ventes de maisons ont bondi de 9,7 pour cent au cours des 12 derniers mois, une preuve que le marché immobilier s’améliore. Les ventes se maintiennent toutefois à peu près au même niveau depuis novembre. L’offre de maisons demeure restreinte et plusieurs acheteurs potentiels ne peuvent pas obtenir de prêts.

Le nombre de maisons à vendre a augmenté de 12 pour cent en avril par rapport à mars, à 2,16 millions. L’inventaire demeure toutefois presque 14 pour cent plus bas qu’il y a un an.

L’augmentation de l’inventaire reflète en partie le début de la saison printanière des ventes. L’offre de maisons à vendre serait épuisé en 5,2 mois au rythme de vente actuel, ce qui est en deçà du niveau typique de six mois.

Plus d’Américains sont intéressés à acheter une maison, selon l’organisme, qui a indiqué que l’affluence des acheteurs a augmenté de 31 pour cent au cours de la dernière année.

L’augmentation de la demande et l’offre restreinte a fait augmenter les prix. Le prix médian d’une maison à vendre a augmenté de 11 pour cent le mois dernier, comparativement à avril 2012, pour atteindre 192 800 $, le prix le plus élevé en presque cinq ans.

Source : http://www.lesaffaires.com

La plus faible baisse des ventes résidentielles des six derniers mois.

Île-des-Sœurs, 8 mai 2013 – Selon la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers, la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) indique que 4 605 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du mois d’avril dans la région métropolitaine de Montréal (RMR), soit une diminution de 11 % par rapport au mois d’avril 2012. Cette diminution, cependant, représente la plus faible baisse enregistrée depuis six mois.

« Nous avons connu un repli des ventes tous les mois depuis l’entrée en vigueur, en juillet dernier, des nouvelles règles hypothécaires », mentionne Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM. « Malgré une baisse des ventes, avril 2013 présente une meilleure performance que celle enregistrée en avril 2011 alors que 4 474 transactions avaient été conclues », ajoute-t-il.

En avril 2013, les trois catégories de propriété ont affiché des diminutions similaires. L’unifamiliale a enregistré une diminution de ventes de 11 %, la copropriété un recul de 10 % et le plex une baisse de 13 % par rapport au même mois l’an dernier.

Tous les grands secteurs ont affiché des baisses de vente pour la période comparée des mois d’avril 2013 et 2012. Les diminutions les plus prononcées sont, pour un deuxième mois consécutif, celles observées à Laval (-20 %) et à Vaudreuil-Soulanges (-13 %), alors que la Rive-Nord (-7 %) et la Rive-Sud de Montréal (-6 %) enregistraient les diminutions les plus faibles. L’île de Montréal, de son côté, a connu un recul de 12 %.

Du côté du prix médian de l’unifamiliale, Laval (285 000 $), la Rive-Sud (270 000 $) et la Rive-Nord (239 000 $) affichent toutes trois une augmentation de 2 %, alors que Montréal (380 000 $) a enregistré une hausse de 1 %. Vaudreuil-Soulanges, quant à elle, (270 000 $) est demeurée stable par rapport au mois d’avril 2012.

Au 30 avril 2013, on dénombrait 33 099 inscriptions en vigueur dans le système Centris®, soit une hausse de 16 % par rapport à la même période l’an dernier. L’augmentation des inscriptions était surtout remarquée, encore une fois, du côté de la copropriété (29 %), alors que l’inventaire a augmenté de manière plus modérée pour l’unifamiliale (8 %) et les plex (12 %).

Sur le plan géographique, c’est sur l’île de Montréal (+26 %) et à Laval (+21 %) que la remontée des inscriptions est la plus prononcée; Vaudreuil-Soulanges, la Rive-Sud et la Rive-Nord suivent avec des augmentations respectives de 14 %, 9 % et 4 %.

Source : http://www.cigm.qc.ca

Marché immobilier. Statistiques Mars 2013.

Marché immobilier : tant les vendeurs que les acheteurs y trouvent leur compte!

Île-des-Sœurs, 8 avril 2013 – Selon la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers, la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) indique que le marché des propriétés unifamiliales est encore à l’avantage des vendeurs alors que le marché des copropriétés est quant à lui à l’avantage des acheteurs.

« Les conditions de marché se détendent rapidement pour la copropriété depuis quelques mois », indique Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM. « Au début de 2012, le marché de la copropriété était encore légèrement à l’avantage des vendeurs. Après un court passage en territoire équilibré, ce segment avantage maintenant les acheteurs, et ce, tant sur l’île de Montréal qu’en banlieue », ajoute-t-il.

Le nombre de ventes conclues dans la région métropolitaine de Montréal (RMR) en mars 2013 a diminué de 17 % par rapport au nombre de ventes réalisées en mars 2012, pour atteindre un total de 4 435 ventes. La diminution des ventes dans le Grand Montréal a débuté avec l’entrée en vigueur en juillet dernier du dernier resserrement des règles d’emprunt hypothécaire.

En mars 2013, toutes les catégories de propriété ont connu une baisse du nombre de transactions par rapport au même mois l’an dernier. L’unifamiliale a enregistré une baisse de 15 %, la copropriété un recul de 18 % alors que le plex affichait une diminution de 24 %.

On constate une baisse des ventes résidentielles dans les cinq grands secteurs de la RMR de Montréal pour la période comparée des mois de mars 2013 et 2012. Alors que Vaudreuil-Soulanges accusait un recul de 36 %, Laval affichait une baisse 23 % et l’île de Montréal une diminution de 20 %. La Rive-Nord et la Rive-Sud ont accusé les reculs les moins significatifs, soit respectivement 9 % et 10 %.

Du côté du prix médian de l’unifamiliale, Vaudreuil-Soulanges (285 450 $) domine, avec une augmentation de 7 %, suivie de la Rive-Sud (274 500 $) qui enregistre une hausse de son prix médian de 5 %, puis de l’île de Montréal (370 000 $) et de la Rive-Nord (235 000 $) qui présentent une augmentation de 3 % et 1 %. Laval (290 000 $), quant à elle, est demeuré stable par rapport au moins de mars 2012.

De façon plus générale, pour toute la RMR de Montréal, l’unifamiliale (275 000 $) et le plex (417 000 $) ont tous deux enregistré une hausse de 1 % de leur prix médian comparé à mars 2012. Le prix médian de la copropriété (222 000 $) a quant à lui diminué de 1 %.

Au 31 mars 2013, on dénombrait 32 934 inscriptions en vigueur dans système Centris®, soit une hausse de 12 % par rapport à la même période l’an dernier. La hausse est plus marquée du côté de la copropriété, qui voit ses inscriptions en vigueur augmenter de 25 % comparé à l’an dernier. Sur le plan géographique, c’est sur l’île de Montréal (+ 22 %) que la remontée des inscriptions est la plus prononcée, alors qu’elle est à peine perceptible sur la Rive-Nord (+ 1 %).

Source : http://www.cigm.qc.ca