Première hausse des ventes en un an pour l’unifamiliale!

FCIQ_centrisLa Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) a dévoilé ses statistiques de ventes résidentielles pour le mois de juillet 2013. Les résultats provenant de la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers indiquent que 2 564 ventes résidentielles, incluant 1 560 unifamiliales et 751 copropriétés, ont été réalisées au cours du mois de juillet dans la région métropolitaine de Montréal (RMR). Fait important à signaler, l’unifamiliale a connu une hausse des ventes de 3 % par rapport au mois de juillet 2012, soit la première hausse enregistrée depuis un an.

« La croissance des ventes d’unifamiliales en juillet est intéressante à observer. Il ne s’agit pas encore d’un phénomène de croissance généralisée, nous remarquons que la hausse des ventes d’unifamiliales est surtout attribuable aux solides performances de la Rive-Nord (+10 %) et de l’île de Montréal (+7 %). D’ailleurs, les courtiers présents dans ces deux secteurs, qui continuent de connaître un niveau d’activité important, observent un engouement certain pour ce type de propriété », a souligné Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM.

Outre l’unifamiliale, les ventes de plex sont restées stables (0 %) et la copropriété a enregistré une diminution des ventes de 13 % par rapport au même mois l’an dernier.

Géographiquement, parmi les grands secteurs, seul celui de la Rive-Nord a enregistré une hausse globale de ventes, principalement en raison de la performance de l’unifamiliale. Il s’agit d’une première hausse en huit mois pour ce secteur.

Du côté du prix médian, on observe une augmentation de 3 % pour l’unifamiliale, alors que celui de la copropriété a baissé de 2 % et celui du plex, de 5 %, à l’échelle de la RMR en juillet 2013.

« Les conditions de marché ont poursuivi leur détente en juillet pour la copropriété et le plex. Pour l’unifamiliale, les conditions du marché sont demeurées équilibrées et le délai de vente moyen n’était que de 78 jours dans la région métropolitaine de Montréal en juillet, ce qui est relativement court. Il s’agit même d’une légère baisse par rapport à juillet 2012, la première en plus de deux ans », a souligné Paul Cardinal, directeur, Analyse du marché, de la Fédération des chambres immobilières du Québec.

Inscriptions en vigueur

Au 31 juillet 2013, on dénombrait 28 705 inscriptions en vigueur dans le système Centris®, soit une hausse de 16 % par rapport à la même période l’an dernier, ce qui représente la 35e hausse mensuelle consécutive. Alors que toutes les catégories de propriété ont connu des hausses significatives à ce chapitre, la copropriété se démarque une fois de plus avec une croissance de 24 %, tandis que l’unifamiliale et le plex ont connu des hausses respectives de 10 % et de 13 %.

Pour un douzième mois consécutif, les inscriptions en vigueur d’unifamiliales ont le plus fortement augmenté sur l’île de Montréal, de 20 %. En contrepartie, sur la Rive-Nord de Montréal, l’offre d’unifamiliales n’a augmenté que de 3 %. Pour la copropriété, c’est tout le contraire puisque c’est sur l’île de Montréal que la hausse a été la plus faible, de 18 %, alors qu’elle a augmenté le plus fortement à Laval (+47 %), à Vaudreuil-Soulanges (+40 %) et sur la Rive-Nord (+33 %).

Indice des prix des propriétés 

Voici les données pour juillet 2013 :

Pour plus d’information, veuillez consulter le site www.indicedesprixdesproprietes.ca .

Source : http://www.cigm.qc.ca

PERSPECTIVES DU MARCHÉ DE L’HABITATION 2013-2014

croissanceAu Québec, la croissance économique s’est mise à ralentir récemment, ce qui se traduira par une baisse de la demande sur les marchés de l’existant et du neuf cette année. De plus, en raison d’une perte de vigueur du marché de la revente et du niveau relativement élevé des stocks de logements neufs, les mises en chantier d’habitations diminueront considérablement en 2013. Ceci étant dit, les conditions d’emprunt toujours favorables et les tendances démographiques soutiendront la demande de logements jusqu’en 2014. À ce moment-là, les marchés de l’existant et du neuf seront tous deux dynamisés par un raffermissement de l’économie et un resserrement du marché de la revente.

Sur le plan économique, le marché du travail du Québec se ressent encore de la lenteur de la reprise au sud de la frontière et du fait que les perspectives d’emploi sont meilleures dans l’ouest canadien. Les investissements des entreprises connaissent une solide augmentation, mais les entreprises misent davantage sur le capital fixe que sur l’embauche. Les dépenses publiques et les dépenses de consommation sont modérées, et les exportations demeurent stables. Le Pib devrait croître de 1,2 à 2,1 % durant l’horizon prévisionnel.

Mises en chantier, logements individuels : en 2013, sous l’effet d’une progression modérée de l’emploi, de la détente persistante du marché de la revente et de la tendance qui favorise les logements collectifs, les mises en chantier de maisons individuelles diminueront encore et se chiffreront à 14 200. en 2014, un resserrement du marché de la revente aidera un peu le marché du neuf, de sorte que les constructeurs couleront les fondations de 14 500 maisons individuelles. si la demande se déplace vers le segment des logements collectifs, c’est parce que ceux-ci sont plus abordables, parce que les besoins changent à mesure que la population vieillit et parce que la densification résidentielle est de plus en plus souvent privilégiée.

Mises en chantier, logements collectifs : stimulée par la popularité des appartements en copropriété, l’offre de logements collectifs a considérablement augmenté. Comme l’activité a été vive durant trois ans, soit de 2010 à 2012, le marché des logements collectifs s’est beaucoup détendu. Le nombre de logements collectifs commencés sera donc considérablement réduit cette année : il descendra à 24 600. en 2014, le niveau des mises en chantier se hissera pour atteindre la barre des 26 200 unités.

Reventes : Après avoir été stables en 2012, les ventes Centris®12 se sont mises à baisser récemment en raison de la conjoncture économique décrite ci-dessus. malgré le redressement attendu pour la deuxième moitié de l’année, les reventes devaient diminuer cette année et se chiffrer à 72 400. elles recommenceront à croître l’an prochain, lorsque les conditions deviendront plus propices à l’achat d’une habitation. il est prévu que 76 500 ventes Centris® seront conclues en 2014. Prix : Étant donné que la demande de logements existants s’est contractée et que l’offre a pris de l’expansion, moins de pressions se sont exercées sur les prix au cours des derniers trimestres, et il devrait en être de même tout au long de 2014. Comme le marché est plus équilibré, la progression des prix continuera de s’atténuer sur le marché de la revente en 2013. Le prix moyen Centris®10 s’établira à 271 200 $ cette année et à 274 200 $ l’an prochain.

Source et données pour le autres provinces : http://www.cmhc-schl.gc.ca

New mortgage rules pushing 1st-time homebuyers to wait.

WAITINGA year after Finance Minister Jim Flaherty tightened mortgage rules to not allow insured mortgages with amortization terms of more than 25 years, many prospective buyers say they are waiting longer to buy their first home.

About 19 per cent said they would wait longer to buy, a survey by Pollara for BMO Bank of Montreal showed.

In June 2012, Flaherty laid out rules aimed at reining in a hot housing market and ensuring Canadians aren’t taking on more debt than they can afford. The rules went into effect July 9, 2012.

First-time homebuyers were expected to be the most affected by the new rules, which included reducing the maximum amortization period for a government-insured mortgage from 30 to 25 years, and also dropping the upper limit that Canadians could borrow against their home equity from 85 per cent to 80 per cent.

CONTINUE READING : http://www.cbc.ca/

Canadian mortgage rates on the rise

croissanceSome of Canada’s major banks are starting to raise mortgage rates. RBC, Scotia Bank and TD have all increased some of their mortgage rates in the last month and RBC announced a second hike last week.

Everyone breathe.

For RBC, the four-year closed-rate mortgage is moving up 10 basis points to 3.39 per cent, five-year increase by 20 basis points to 3.6 per cernt, the seven-year by 20 basis points to 3.99 per cent, the 10-year is moving up by 30 basis points to 4.29 per cent.

When mortgage rates increase, homeowners, or those ready to buy, are often fearful, with reason.

However, it’s not all bad. Hopefully, we can get a little bit of perspective on the recent rise in Canadian mortgage rates.

These are still really good rates

In November 2008, the monthly average mortgage rate for a conventional five-year mortgage in Canada was 7 per cent. Since the 2008 crash, we’ve been a bit spoiled with artificially low mortgage rates. A five-year closed rate of 3.69 per cent is still low, historically speaking.

Rising mortgage rates are a double-edged sword

Rising mortgage rates are a signal of a stabilizing economy in North America, which we’ve all been rooting for since 2008. A stabilizing economy means increases in employment, incomes and hopefully stock markets. These are good things that should help families offset the effect of mortgage hikes.

These are very small hikes

The largest increase announced is 30 basis points on the RBC 10-year closed mortgage. That’s three tenths of a percent. We aren’t talking full percentage swings over night. Small rises in mortgage rates can be a signal of upward trends, but at least they give home owners time to speak with their mortgage specialist and lock down a rate that allows them to sleep at night.

Most mortgage rates are set by banks

Mortgage rates are set by each individual bank, based on supply and demand. Banks who have not yet raised rates may hold off on a rate increase to see how their competitor’s decisions plays out.

How to survive a mortgage rate hike

  1. Purchase a home you can afford, even when rates rise. The bigger your mortgage, the more effected you are.
  2. Aim to have a 20 per cent down payment to ensure that you’re not over leveraged.
  3. Start paying down consumer debt to free up additional cash flow for your household.
  4. Sit down with a mortgage specialist and ask for a rate hold, which you can always cancel if you need to or lock in a historically low rate.

SOURCE : http://globalnews.ca/

La prochaine taxe scolaire pourrait être salée

Commission_scolaireL’abolition d’une mesure gouvernementale temporaire entraînera une augmentation du compte de taxe scolaire pour une majorité de contribuables québécois au cours des trois prochaines années.

Par exemple, la hausse sera, en moyenne, de 120 $ dès juillet pour le territoire desservi par la Commission scolaire de la Seigneurie-des-Mille-Îles, soit les Basses-Laurentides. Seules une commission scolaire située à Québec, une autre située dans les Laurentides et celles situées sur l’île de Montréal ne sont pas touchées par cette hausse.

Que se passe-t-il? L’automne dernier, la fin d’un programme temporaire de « péréquation additionnelle » mis en place en 2006 a été annoncée lors du dépôt du premier budget du gouvernement péquiste. Ce programme s’apparentait à un cadeau aux contribuables.

Un calcul complexe

Remontons le temps. Jusqu’en 2007, la taxe scolaire s’ajustait à la valeur foncière des propriétés. Puis a eu lieu le boom immobilier dans la couronne montréalaise. Depuis, les villes connaissent un développement rapide, ainsi qu’une hausse accélérée de la valeur foncière.

Pour aider les familles, le gouvernement libéral de l’époque a modifié les règles du jeu. Le calcul de la taxe scolaire a été établi en fonction de nouveaux critères qui tiennent compte de la hausse de la valeur foncière.

Pour maintenir l’augmentation des taxes scolaires à un niveau raisonnable, une enveloppe de 150 millions de dollars par année a été octroyée aux commissions scolaires. C’est cette subvention, que certains appellent un « rabais fiscal », qui disparaîtra progressivement d’ici trois ans, sous réserve de l’adoption du projet de loi 25 au plus tard le vendredi 14 juin.

Pour faire face à cette situation, les commissions scolaires ont plusieurs options : couper dans les services – « Impossible », clament-elles en chœur – ou refiler la facture au contribuable. Voyez les répercussions de cette décision sur un compte de taxe réel:

Pourquoi abolir ce programme?

Écoutez la réponse de la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Marie Malavoy, questionnée à ce sujet :

Par  Radio-canada.ca