Quebec came to rule Canadian real estate in 2018

For residential real estate, 2018 was the year of Quebec. While housing markets lost steam in other parts of the country, Quebec’s market remained poised as sales and prices grew.

That was one of the takeaways from data released this week by the Canadian Real Estate Association (CREA), which presented a broad picture of resale  markets across Canada. The data also raised some interesting questions: For instance, in a year in which prices and sales declined in many regions, was it the average price that dropped or the price of the average house? Also, how has Quebec been able to avoid the declining trends?

CREA data shows that the nominal average housing price in greater Toronto in December 2018 was up 2.1 per cent from the year before. However, CREA’s Benchmark Home Price Index, which compares prices of similarly structured homes, revealed that the benchmark price in December 2018 was up 3 per cent. That suggests that more lower priced homes were sold in 2018.

The same index revealed that the prices in Greater Vancouver declined by 2.7 per cent but rose by 6 per cent in greater Montreal in December 2018.

The Montreal housing market is structurally different from the rest of the country. Low-rise multiplexes are the dominant housing type, and renters far outnumber owners in Montreal. The demand for townhouses and row housing is therefore greater in Montreal, which is reflected in a 9 per cent increase in their prices.

At the same time, compared with the prices in other large urban markets, housing prices in Montreal, Canada’s second-largest housing market, are significantly lower and have room for further appreciation. The average nominal house price in December 2018 was $394,000 in the Montreal Census Metropolitan Area compared with $750,000 in the greater Toronto area.

In Ontario, the total dollar volume of all residential sales in 2018 declined by 16 per cent to $108 billion — something that prompted the municipal authorities in Toronto, which levies a land transfer tax in addition to the one imposed by the province, to raise the alarm about an impending revenue shortfall expected to be $99 million.

And since the real estate industry works on commission, a 15 per cent decline in total dollar volume and an 11 per cent decline in transactions across Canada means a significant revenue loss for the real estate brokerage industry. Lower prices and fewer transactions also impact mortgage lenders who would have experienced a decline in the growth of their real estate portfolios.

See full text : https://business.financialpost.com

Marché immobilier. 2E TRIMESTRE DE 2018.

Le marché a conservé son dynamisme au deuxième trimestre de 2018 :

• Ainsi, 14 771 propriétés résidentielles ont changé de mains dans l’ensemble de la RMR, soit 4 % de plus que le nombre observé à la même période un an auparavant.
• Cela fait désormais 16 trimestres que les ventes résidentielles ne cessent de croître dans la région.
• La copropriété demeure le segment le plus dynamique avec une hausse de 13 % (5 120), tandis que les ventes de plex (1 332) ont enregistré une timide augmentation de 1 %.
• En revanche, les ventes d’unifamiliales (8 301) ont reculé (-1 %) pour la première fois depuis le deuxième trimestre de 2014.
• Le prix médian a continué de croître pour l’unifamiliale (322 509 $) et la copropriété (253 000 $), avec une hausse de 3 %. Le prix médian des plex de deux à cinq logements (510 000 $) a
également poursuivi sa progression (+7 %).
• À l’instar du trimestre précédent, les secteurs de l’île de Montréal et de Vaudreuil-Soulanges se sont démarqués en affichant les plus fortes hausses du prix médian des unifamiliales (+7 % et +12 % respectivement).
• Ces deux secteurs se sont également distingués par les plus fortes progressions du prix médian des copropriétés, c’est-à-dire de 5 % pour l’île de Montréal et de 6 % pour Vaudreuil-Soulanges.
• En moyenne, un peu plus de 24 000 propriétés résidentielles étaient affichées dans l’ensemble de la RMR sur le système Centris d’avril à juin. Il s’agit d’une diminution de 17 % et du onzième recul trimestriel consécutif à ce chapitre.
• La baisse des inscriptions en vigueur a été particulièrement prononcée pour les unifamiliales (-14 %) et les copropriétés (-22 %). Les plex de deux à cinq logements ont également vu leur offre se tarir, mais dans une moindre mesure, avec une diminution des inscriptions de 6 %. C’est l’île de Montréal qui a enregistré la plus forte contraction de l’offre, soit une diminution de 20 % du nombre de propriétés résidentielles à vendre.
• Les délais de vente moyens ont continué de se raccourcir : en moyenne, il fallait respectivement 73 jours (-11), 95 jours (-14) et 71 jours (-10) pour vendre une unifamiliale, une copropriété et un plex dans l’ensemble de la RMR.

Source : https://www.fciq.ca

How real estate feeds the Canadian economy. Macleans.


Real estate is more important to the Canadian economy than you think. Here’s why. Source : Macleans.ca

Canadians aren’t ready to give up on real estate related economic growth. Statistics Canada released final Gross Domestic Product (GDP) numbers for 2017. The Canadian economy squeezed out a gain for the year. Nearly a fifth of those gains came from real estate related industries. Despite talk of a slowing real estate market, over a fifth of GDP still comes from real estate and related industries.

Real estate played a huge roll in driving GDP growth over the past year. December’s numbers show a $55.96 billion increase from the year before. Breaking that number down, $10.73 billion of the increase was related to the FIRE (Finance, Insurance, and Real Estate) segment. This means FIRE represented 19.18% of growth. StatsCan analysts noted the mortgage stress tests, but the ratio is actually lower than it has been recently. So we’re not seeing a large spike due to people squeezing in before stress testing became mandatory.

Source : https://betterdwelling.com/

Montréal est bien différant du reste du Québec.

L’année 2017 a été exceptionnelle en ce qui concerne les ventes de propriétés immobilières. Le secteur de la copropriété et la grande région de Montréal ont été particulièrement dynamiques. La croissance de l’emploi et celle de la population ont permis de soutenir le marché, malgré les resserrements hypothécaires appliqués à la fin de 2016.

Le contexte est légèrement différent en 2018 avec des restrictions hypothécaires supplémentaires, des hausses de taux d’intérêt et un taux de chômage très bas en début d’année qui limitera la croissance de l’emploi au cours de l’année.

Avec tous ces changements, l’année 2018 débute plutôt au ralenti dans plusieurs secteurs. Par contre, historiquement, le premier trimestre est celui où l’on compte le moins de transactions publiées au Registre foncier du Québec. Il faudra donc attendre encore quelques mois afin de voir quelles seront les tendances exactes cette année.

Bref, le marché immobilier montréalais se porte bien et la croissance des ventes perdure. Par contre, dans bien des régions le portrait est très différent. Les augmentations de taux d’intérêt, les restrictions hypothécaires et une croissance de population plus faible que dans la RMR de Montréal (voire même une baisse de population dans certaines régions) limitent la demande de logements et font donc reculer les ventes.

En ce qui concerne les prix médians pour l’ensemble du Québec, ils continuent de croître grâce, entre autres, à l’augmentation des ventes à Montréal, un marché généralement plus cher. Le prix médian des unifamiliales au Québec s’est établi à 245 000 $ au premier trimestre en hausse de 5 %. Pour les copropriétés, le prix médian a grimpé à 250 000 $ ce qui représente une augmentation de 3 %.

Article complet : http://www.lesaffaires.com/

MARCHÉ IMMOBILIER MONTRÉALAIS – 4E TRIMESTRE 2017

VENTES

• L’année 2017 s’est terminée en beauté, avec une augmentation de 9 % des ventes résidentielles (9 572) au quatrième trimestre.
• Au cumul de l’année, 44 448 ventes ont été conclues, soit le deuxième total en importance de l’histoire de la région montréalaise. Il s’agit d’une croissance de 8 % par rapport à 2016 et d’une troisième hausse annuelle consécutive.
• Toutes les catégories de propriétés ont connu une augmentation des ventes en 2017. La copropriété s’est nettement démarquée, grâce à une progression des ventes de 17 %. Les plex de deux à cinq logements et les maisons unifamiliales ont pour leur part affiché des gains de 6 % et de 3 % respectivement à ce chapitre.
• Tous les secteurs géographiques ont vu leurs ventes croître en 2017 : Vaudreuil-Soulanges (+13 %), l’île de Montréal (+11 %), Saint-Jean-sur-Richelieu (+9 %), Laval (+6 %), la Rive-Sud (+5 %) et la Rive-Nord (+4 %).
• Le haut de gamme a connu une année faste, les ventes d’unifamiliales de plus de 1 000 000 $ ayant crû de 20 %, et celles de copropriétés de plus de 500 000 $, de 42 %

Prix médian

• La croissance des prix s’est nettement accélérée en 2017 : l’augmentation du prix médian des unifamiliales (310 000 $) a été de 7 %, alors que de 2013 à 2016, la hausse n’a été que de 2 % par année. Il s’agit de la plus forte hausse de prix en sept ans.
• Du côté de la copropriété, le prix médian a atteint 247 000 $, soit une progression de 3 %. Encore ici, il s’agit d’une accélération par rapport à la hausse de seulement 1 % observée en 2016.
• En ce qui a trait aux plex, dont le prix médian s’est élevé à 476 000 $, l’augmentation est de 4 % en 2017, une croissance identique à celle enregistrée en 2016.

Inscriptions en vigueur

• Pour une deuxième année consécutive, le nombre de propriétés à vendre s’est replié en 2017 : on en dénombrait (27 635) sur le système Centris®, soit une forte diminution de 13 %.
• C’est pour l’unifamiliale que la baisse de l’offre a été la plus marquée : elle était de l’ordre de 17 %, comparativement à des diminutions de 14 % pour le plex et de 9 % pour la copropriété.
• Sur le plan géographique, ce sont les secteurs de Saint-Jean-sur-Richelieu (-18 %) et de l’île de Montréal (-17 %) qui ont accusé les plus fortes baisses.

Conditions du marché

• De manière générale, 2017 se termine dans des conditions du marché nettement à l’avantage des vendeurs pour l’unifamiliale et les plex. La rareté de l’offre d’unifamiliales par rapport à la demande est indéniable sur l’île de Montréal, où le nombre de mois d’inventaire est légèrement inférieur à 5.
• Pour la copropriété, le portrait diffère puisque, globalement, les conditions du marché sont équilibrées. Néanmoins, de plus en plus de secteurs centraux confèrent désormais un avantage aux vendeurs lors de la négociation.

Source : http://www.fciq.ca

Lire le rapport complet : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl.pdf

English version : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl-en.pdf