Canada’s Real Estate : Home sales rise in May.

SOURCE PAGE : http://www.cbc.ca

The number of houses sold in May increased 5.9 per cent over the previous month, according to Canadian Real Estate Association data. The national average price climbed to $401,887 an increase of 0.8 per cent from April.

Hausse des ventes résidentielles dans la région de Montréal

Graph of housing marketLa Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) a publié les plus récentes statistiques du marché résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, établies d’après la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers. Ainsi, 3 298 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du mois de juin 2014, une hausse de 3 % par rapport au mois de juin 2013. Il s’agit de la première augmentation des ventes en neuf mois.

STATISTIQUES DU MARCHÉ RÉSIDENTIEL – JUIN 2014
VENTES RÉSIDENTIELS DANS LA RÉGION DE MONTRÉAL +3% é
UNIFAMILIALE PLEX COPROPRIÉTÉ
2% é 1% é 8% é
PRIX MÉDIANE
2% é 5% é 0,00%
NOMBRE D’INSCRIPTIONS 10% é

L’article complet : http://www.cigm.qc.ca

Marché de la revente de plex : rétrospective des dix dernières années

FCIQ_centrisL’achat de petits immeubles locatifs de deux à cinq logements, communément appelés plex, s’est avéré un choix de prédilection auprès des petits investisseurs québécois au cours des dernières années. Le récent boum immobilier a fait exploser leur valeur de revente, qui a pratiquement doublé dans la majorité des secteurs géographiques où ils sont bien établis.

Les ventes se sont effritées depuis 10 ans

Le graphique 1 relate l’évolution des ventes par catégories de propriétés dans les six régions métropolitaines (Montréal, Québec, Gatineau, Sherbrooke, Saguenay et Trois-Rivières) de recensement (RMR) de la province regroupées. On y constate qu’au cours des dix dernières années une tendance baissière a affecté les ventes de plex (celle-ci se vérifie également pour chacune des RMR individuellement, sans exception). Ce n’est toutefois pas nécessairement le cas pour les autres catégories de propriétés. Ainsi, entre 2003 et 2013, pendant que le nombre de transactions d’unifamiliales connaissait une baisse de 11 %, le nombre de transactions de copropriétés a bondi de 40 %, tandis que le nombre de transactions de plex a fléchi de 35 %. Les ventes de plex étaient notamment moins nombreuses en 2013 qu’en 2003, la différence étant respectivement de 35 %, de 38 % et de 37 %, dans les régions métropolitaines de Montréal, de Québec et de Gatineau.

graph_image1

Une baisse aussi marquée des ventes de plex au cours des dernières années peut sembler plutôt surprenante compte tenu du contexte d’un marché immobilier en pleine ébullition et du très faible taux d’inoccupation des logements locatifs. Il faut toutefois se garder d’en conclure que les plex sont de moins en moins populaires auprès des acheteurs. D’autres indicateurs nous donnent d’ailleurs un son de cloche contraire.

Mais les plex sont néanmoins prisés par les acheteurs

Le graphique 2 relate l’évolution des délais de vente moyens par catégories de propriétés pour l’ensemble des six RMR. On y constate que, pendant que les délais de vente moyens augmentaient sensiblement pour la copropriété, ceux des plex sont demeurés assez similaires à ceux des unifamiliales et n’ont jamais dépassé les 90 jours. En fait, au cours des quatre dernières années, ce sont les plex qui ont affiché les délais de vente moyens les plus courts.

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Si les ventes de plex ont diminué de cette façon au cours des dix dernières années, c’est sans doute en raison du rétrécissement de la taille du parc au fil des ans. D’une part, la construction de petits immeubles locatifs est quasi-inexistante depuis plusieurs années au Québec, en particulier dans les quartiers centraux où ils étaient jadis prédominants. D’autre part, petit à petit, malgré plusieurs restrictions à cet effet, un certain nombre de plex sont convertis en copropriétés chaque année.

Croissance des prix : les plex surpassent les autres catégories

Étant donné une rareté relative des plex sur le marché de la revente durant plusieurs années (graphique 3), de fortes pressions sur les prix se sont exercées. Au cours des dix dernières années, non seulement les prix des petits immeubles locatifs ont-ils considérablement augmenté, mais les hausses du prix moyen des plex, peu importe leur taille, ont dépassé celles des unifamiliales et des copropriétés.

L’état actuel du marché

Les données les plus récentes démontrent que, à l’instar de l’ensemble du marché de la revente québécois, le marché du plex est affecté depuis quelques mois par une baisse généralisée des ventes. Il faut dire que les rondes successives de resserrements des règles de l’assurance prêt hypothécaire (voir notamment Le quatrième resserrement hypothécaire, un an plus tard) ont fini par refroidir le marché. Rappelons qu’une des règles introduites en avril 2010, visant spécifiquement à limiter la présence d’investisseurs, a fait passer la mise de fonds minimale de 5 % à 20 % dans le cas de prêts relatifs à des immeubles de 1 à 4 logements dont aucun logement n’est occupé par le propriétaire. Une deuxième tendance récente à laquelle le plex n’échappe pas est la hausse généralisée des inscriptions en vigueur. En raison de celle-ci, combinée au ralentissement de l’activité, les conditions du marché se sont détendues, les délais de ventes se sont allongés et le rythme de croissance des prix a ralenti.

De façon générale, les conditions du marché sont désormais équilibrées dans les RMR de Montréal, de Québec et de Gatineau, mais sont à l’avantage des acheteurs dans les RMR de Sherbrooke, de Saguenay et de Trois-Rivières. Parmi les secteurs où les vendeurs de plex ont encore le plus gros bout du bâton lors des négociations, on compte les secteurs centraux de l’île de Montréal suivants : Rosemont, Le Sud-Ouest, Mercier/Hochelaga-Maisonneuve, Le Plateau et Villeray.

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Ventes résidentielles : pas d’embellie en avril

stat apr 2014La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) vient de publier les statistiques du marché résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, établies d’après la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers. Ainsi, 4 184 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du mois d’avril 2014, ce qui représente une baisse de 9 % par rapport au mois d’avril 2013. Il s’agit d’un cinquième recul mensuel consécutif des ventes.

Les trois catégories de propriétés ont connu des baisses similaires du nombre de transactions, soit de 8 %, de 9 % et de 8 % respectivement pour l’unifamiliale, la copropriété et le plex. Dans le cas de la copropriété, le recul des ventes en avril est le septième consécutif.

Sur le plan géographique, tous les secteurs ont été affectés par le ralentissement de l’activité. La diminution la plus faible (-5 %) est survenue dans Vaudreuil-Soulanges, mettant ainsi fin à six hausses consécutives des ventes dans ce secteur. Laval, la Rive-Sud et l’Île de Montréal ont enregistré des baisses de 6 %, de 8 % et de 9 % respectivement, tandis que le recul le plus prononcé appartient à la Rive-Nord, avec 10 % de ventes en moins par rapport à avril 2013.

Les prix se maintiennent

Le prix médian des propriétés, à l’échelle de la région métropolitaine, a enregistré une hausse de 1 %, tant pour l’unifamiliale (282 000 $), que pour la copropriété (225 000 $) et le plex (429 000 $). Soulignons la progression de 4 % du prix médian des unifamiliales sur la Rive-Sud.

Au 30 avril 2014, on dénombrait 35 904 inscriptions en vigueur au système Centris®, une hausse de 9% par rapport à la même période l’an dernier. Le nombre de propriétés à vendre est en hausse depuis maintenant 44 mois consécutifs.

« Étant donné l’augmentation du nombre d’inscriptions et la baisse des ventes depuis quelques mois, les acheteurs regagnent du pouvoir de négociation, en particulier s’ils magasinent une copropriété, dont les conditions de marché sont clairement à l’avantage des acheteurs dans la majorité des secteurs », souligne Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM.

En dernier lieu, les délais de vente moyens ont augmenté de 9 jours pour l’unifamiliale (91 jours) et de 15 jours (113 jours) pour la copropriété, tandis que les plex ont trouvé preneur en 78 jours en moyenne, soit 9 jours de moins qu’en avril 2013.

Source : http://cms.centris.ca/

Guerre des hypothèques: Investors offre un taux de 1,99%.

Jim Flaherty doit se retourner dans sa tombe. La guerre des taux hypothécaires vient de gagner en intensité avec une offre des plus agressives du Groupe Investors.

L’institution financière, plus connue pour ses fonds communs de placement, fait trembler l’industrie du prêt hypothécaire avec une offre inédite au Canada: un prêt de trois ans à un taux variable qui se situe actuellement à 1,99 %.

Plus en détail, l’entreprise offre un prêt de 36 mois, fermé, à un taux variable de 101 points base sous le taux préférentiel. Celui-ci se situe actuellement à 3 %. Ainsi, le taux hypothécaire se retrouve sous la barre symbolique des 2 %, une première.

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