What Google searches reveal about Canada’s housing market

Want to know when the housing market will take off? Ask Google.

It looks like the number of times that Canadians search for the term “mortgages” in Google is a decent indicator of what home sales will do. And if that’s true, the spring might yet show a spike in the number of homes changing hands, followed by a levelling off.

We used Google trends to track how many Canadians had searched the term “mortgages” between March 2012 and March 2014. We then overlaid that with the number of existing homes that were changing hands in each month over that time frame. And voilà.

Google’s chief economist, Hal Varian, has said that, in hindsight, Google search terms shed light on the evolution of the U.S. subprime mortgage crisis. Searches in the United States for terms such as “property management,” “home insurance,” and “real estate agencies” were correlated to the number of new homes that were selling as foreclosures started to rise and median house prices dropped.

So, if the “mortgage” search is a good barometer for Canada, what does it predict? Searches for the term peaked on Thursday March 27, when they temporarily spiked, and levelled off shortly thereafter. That peak day, probably not coincidentally, was when Bank of Montreal announced that it was bringing back its 2.99 per cent five-year fixed mortgage rate (which prior to that had been 3.49 per cent).

Last year Bank of Montreal introduced the 2.99 five-year rate in the first week of March, triggering a small spike up in searches for “mortgages,” but one that remained well below the searches that took place last month. Indeed, the number of searches for mortgages in late March of this year hit a high that hadn’t been seen since March 2012.

Meanwhile, the number of homes that changed hands over the Multiple Listing Service last month was 30 per cent below the peak sales level reached in May 2012.

Source : The Globe And Mail

Marché immobilier montréalais. Premier trimestre 2014.

croissanceSelon la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers, 9 623 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du premier trimestre de 2014 dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, soit une baisse de 3 % par rapport aux trois premiers mois de 2013. Il s’agit d’une deuxième baisse trimestrielle consécutive et de la sixième baisse au cours des sept derniers trimestres. Il s’agit aussi du nombre de transactions le plus bas pour cette période depuis 2009.

De manière générale, le contexte économique était toujours favorable au marché immobilier résidentiel. Les taux hypothécaires sont demeurés à un creux historique et le resteront pour plusieurs mois encore d’après les déclarations du gouverneur de la Banque du Canada1. Dans la région de Montréal, l’emploi, qui est en général un indicateur précurseur de la demande sur le marché immobilier, a progressé de 12 400 postes depuis un an.

Vaudreuil-Soulanges fait bonne figure.

Les ventes des trois catégories de propriétés ont évolué différemment dans la RMR de Montréal au premier trimestre de 2014 : les ventes d’unifamiliales ont connu le statut quo, avec 5 915 transactions ; les ventes de copropriétés ont diminué de 8 %, pour un total de 2 824 unités ; et les ventes de plex ont légèrement progressé (+1 %) pour atteindre 879 ventes.

Sur le plan géographique, le secteur de Vaudreuil-Soulanges s’est démarqué en étant le seul à afficher une hausse significative des ventes au premier trimestre de 2014, avec 16 % d’augmentation (475 transactions). L’île de Montréal a également tiré son épingle du jeu avec une progression de 1 %, pour un total de 3 553 transactions. Les autres secteurs n’ont pas échappé à la tendance baissière : la Rive-Nord a affiché un recul de 2 % (2 408 ventes), tandis que Laval (1 051 ventes) et la Rive-Sud (2 136 ventes) ont connu des diminutions plus marquées de l’ordre de 8 % et de 9 % respectivement.

Parmi les sous-secteurs ayant enregistré de bons résultats au chapitre des ventes au cours des trois premiers mois de l’année, on retrouve notamment Soulanges-sud (+40 %), Villeray (+27 %), Ville-Marie (+23 %) et Lachine/Lasalle (+17 %). Sur une note moins positive, tous les secteurs de la Rive-Sud ont enregistré des baisses de ventes, mis à part celui de Saint-Hubert qui a plutôt connu une certaine stabilité.

Propriétés à vendre : tendance à la hausse depuis la fin de 2010

conditionsmarcheuniLe nombre d’inscriptions en vigueur a augmenté de 9 % par rapport aux trois premiers mois de 2013. Cette tendance à la hausse s’observe depuis maintenant quatorze trimestres consécutifs dans la RMR de Montréal. Géographiquement, l’offre de propriétés, toutes catégories confondues, a progressé dans tous les secteurs, mais Laval et la Rive-Nord ont enregistré les croissances les plus fortes, avec des hausses de l’ordre de 13 % à ce chapitre. Par catégorie, la plus forte progression des inscriptions est venue encore une fois de la copropriété (+12 %). L’unifamiliale a aussi connu une hausse considérable de 9 %, tandis que l’augmentation ne fut que de 1 % pour le plex.

stat 2014-1q

La copropriété, un marché à la faveur des acheteurs

Les conditions du marché de la copropriété se sont détendues au cours des trois dernières années dans la grande région de Montréal et ont même basculé à l’avantage des acheteurs l’an dernier. Au cours des mois de janvier à mars 2014, le nombre de mois d’inventaire pour la copropriété a encore quelque peu augmenté à 13 mois, reflétant toujours un marché légèrement à la faveur des acheteurs lors des négociations. Le marché de l’unifamiliale s’est lui aussi détendu : autrefois à l’avantage des vendeurs, le marché s’est équilibré depuis le deuxième trimestre de 2013. Le nombre de mois d’inventaire au premier trimestre de 2014 atteignait 9 mois, un sommet en 14 ans. Certains sous-secteurs de la RMR de Montréal représentent toujours un marché à l’avantage des vendeurs, mais ceux-ci sont cependant de moins en moins nombreux : c’est le cas, notamment, de Mercier/Hochelaga-Maisonneuve, avec 6 mois d’inventaire, ainsi que de l’Ouest-de-l’Île-Sud, de Sainte-Rose, de Boisbriand/Sainte-Thérèse, de Saint-Hubert et de Sainte-Julie, avec 7 mois d’inventaire. Finalement, le marché du plex est demeuré équilibré, avec un inventaire de 9 mois.

Raffermissement des prix pour la copropriété

À l’échelle de la région métropolitaine de Montréal, c’est la copropriété qui a enregistré la plus forte augmentation de son prix médian (+2 %) au premier trimestre de 2014, la moitié des unités s’étant vendue à un prix supérieur à 225 000 $. Cette hausse fait suite à deux trimestres de légères baisses de prix. Les prix des maisons unifamiliales (275 000 $) et des plex (425 000 $) ont pour leur part connu une légère hausse de leur prix médian de 1 %.

Les sous-secteurs qui ont enregistré les meilleurs résultats au premier trimestre en ce qui a trait à la croissance du prix des unifamiliales sont Brossard (+7 %) et Lachine/Lasalle (+7 %). À l’opposé, les secteurs du Sud-Ouest (-13 %) et de l’Île-Perrot (-13 %) sont ceux qui ont connu les baisses de prix les plus marquées pour cette catégorie. Du côté de la copropriété, la palme de la plus forte hausse revient au secteur Centre de l’île de Montréal (494 000 $), qui a vu son prix médian grimper de 23 % par rapport aux trois premiers mois de 2013. Les copropriétés du secteur Ville-Marie (262 750 $) ont quant à elles subi la plus forte baisse de prix, avec un recul de 12 %.

Pour plus de détails par secteurs consultez : http://cms.centris.ca

Immobilier: les Montréalais reprennent le goût d’acheter

home-soldLa confiance des propriétaires montréalais pourrait redonner un peu de tonus au marché de la copropriété, selon un sondage effectué par Pollara pour le compte de la Banque de Montréal.

Les propriétaires montréalais sont 63% à vouloir acheter une propriété d’ici cinq ans. C’est une augmentation de 13 points de pourcentage par rapport à l’an dernier.

En comparaison, 44% des propriétaires canadiens ont le même objectif, en légère baisse par rapport à l’an dernier.

L’ARTICLE COMPLET : http://www.lesaffaires.com

Immobilier : 3 milliards pour le centre-ville de Montréal

Construite à la fin du 20e siècle, la gare Windsor a été une plaque tournante du transport.

Deux sociétés immobilières d’importance, Cadillac Fairview et Ivanhoe Cambridge, ont dans leurs cartons d’importants projets immobiliers qui transformeront une partie du centre-ville de Montréal.

Au total, ce sont 3 milliards de dollars qui seront injectés dans le coeur de la métropole par les deux géants de l’immobilier.

Tout d’abord Cadillac Fairview érigera sept nouveaux édifices, en plus des deux déjà annoncés et dont la construction est en cours, c’est-à-dire la Tour des Canadiens et l’édifice Deloitte. La Tour des Canadiens,qui devrait être terminée en 2016 et la Tour Deloitte à l’été 2015. Ces projets qui modifieront les environs du Centre Bell et le secteur de la gare Windsor.

Cadillac Fairview parle d’ailleurs du « quad Windsor », quad pour quadrilatère. « Le Quad Windsor sera plus qu’un quartier », cite l’entreprise dans son communiqué.

La tour Deloitte, projet de Cadillac Fairview au centre-ville de Montréal

De plus, sept autres édifices verront le jour dans les quinze années à venir : soit cinq nouvelles tours résidentielles, rues Peel et Saint-Antoine, et deux nouvelles tours de bureaux à proximité. Coût de ce plan de développement? Deux milliards de dollars.

Un milliard de la part d’Ivanhoé Cambridge

Et puis, l’autre investissement majeur proviendra d’Ivanhoé Cambridge, filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui va investir 1 milliard de dollars sur trois ans pour rénover trois édifices montréalais, en plus d’en construire un nouveau.

Ivanhoé Cambridge va moderniser l’hôtel Reine Elizabeth, transformer des étages supérieurs de la Place Ville-Marie en attraction touristique avec un observatoire au sommet, et investira dans le Centre Eaton et le Complexe Les Ailes.

Source : http://ici.radio-canada.ca/

Majoration des primes d’assurance prêt hypothécaire SCHL – 1 Mai 2014.

statisticsL’assurance prêt hypothécaire SCHL protège les prêteurs contre les défauts de paiement et permet aux emprunteurs de faire l’acquisition d’une habitation avec une mise de fonds minimale de 5%.
À compter du 1er mai 2104, la SCHL majorera ses primes d’assurance prêt hypothécaire pour logements de propriétaires-occupants afin de tenir compte du rehaussement de ses cibles de capital. Sont majorées les primes d’assurance visant les prêts hypothécaires consentis aux propriétaires-occupants, aux travailleurs autonomes et aux propriétaires d’immeubles locatifs comptant un à quatre logements, y compris les prêts de refinancement à faible rapport prêt-valeur.
La prime d’assurance prêt hypothécaire perçue par la SCHL correspond à un pourcentage du montant du prêt établi en fonction du rapport prêt-valeur. La prime peut être acquittée en un seul versement ou, plus fréquemment, être ajoutée au capital du prêt et amortie sur la durée du prêt au moyen des versements hypothécaires périodiques.
Le nouveau barème des primes s’appliquera aux nouvelles demandes d’assurance prêt hypothécaire présentées le ou après le 1er mai 2104. Pour que la demande soit assujettie au barème actuel (et plus bas) des primes, le prêteur doit présenter la demande d’assurance prêt hypothécaire à la SCHL avant le 1er mai 2104, quelle que soit la date de clôture. Comme c’est déjà le cas, les renseignements complets sur l’emprunteur et la propriété doivent figurer dans la demande d’assurance prêt hypothécaire transmise à la SCHL.

Source : http://www.schl.ca/