US house prices in biggest annual rise for seven years.

Graph of housing market

US house prices rose 12.4% over the 12 months to the end of July, the biggest annual increase since February 2006, according to a closely-watched measure.

The rise was revealed in the latest S&P/Case-Shiller Home Price Index.

The index measures single-family home prices across 20 cities, with 13 cities showing a rising annual growth rate.

Last week, the US Federal Reserve decided to maintain its effort to boost the economy, which involves buying $85bn worth of assets every month.

CONTINUE READING : http://www.bbc.co.uk/

Montréal – un marché encore favorable aux acheteurs.

statisticsLe marché immobilier de la grande région de Montréal a pris du mieux en août, mais les conditions de marché se sont détériorées dans le segment de la copropriété de certaines régions.

D’après les données recensées par la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), 2391 propriétés ont changé de main dans la région métropolitaine au cours du dernier mois, soit une hausse de 3% par rapport à la même période de 2012.

Il y a eu 9% de plus de copropriétés qui ont changé de propriétaire dans le Grand Montréal, soit 792. Le marché du condo a été particulièrement vigoureux sur l’île de Montréal, où les ventes ont bondi de 17%, et sur la Rive-Sud, où elles ont crû de 10%. Il s’agit du meilleur mois pour ces deux secteurs depuis 2009, souligne la Chambre.

Les prix de tous les types de propriétés ont augmenté. Le prix médian des maisons unifamiliales a progressé de 2% à 285 000$, ceux des copropriétés de 3% à 232 000$ et ceux des plex (2 à 5 logements) de 5% à 435 000$.

Août est le premier mois où l’on compare les chiffres entre deux périodes ayant été affectées par le resserrement des règles hypothécaires mises en place par Ottawa en juillet 2012.

Un marché d’acheteurs

Malgré la hausse des ventes, les marchés de chacun des grands secteurs favorisent actuellement les acheteurs, dit la Chambre immobilière.

Le prix médian des copropriétés, notamment, se comporte en dents de scie depuis le début de 2013, passant de légères augmentations à de légères diminutions.

Il faut dire que l’offre de copropriétés à vendre continue de croître à grande vitesse. Il s’est accru de 23% en août dans la région métropolitaine, soit une augmentation similaire à celle observée en juillet et en juin (24% et 23%).

À Laval, le nombre de condos à vendre a bondi de 51% de juillet à août, soit la plus forte hausse parmi les régions de la métropole. Le prix de vente médian des condos a d’ailleurs reculé de 8% à Laval en comparaison du même mois de 2012.

Le marché est aussi difficile pour la région de la Rive-Nord, où les ventes de copropriétés ont fléchi de 15% en août 2013 par rapport à l’année dernière.

À l’inverse, il y a eu 10% de plus de ventes de condos dans la région de la Rive-Sud.

Source : http://www.lesaffaires.com/

ALERTE HYPOTHÉCAIRE

La Banque Royale du Canada hausse ses taux hypothécaires résidentiels 3 ans et 5 ans

La Banque Royale du Canada vient d’augmenter ses taux hypothécaires de 0,20 point de pourcentage. Le taux affiché par la Banque Royale pour un emprunt hypothécaire avec un terme de 5 ans est maintenant de 5,34 % alors que celui pour un terme de 3 ans a atteint 3,95 %.

Les principales institutions financières du pays devraient elles aussi emboîter le pas et répliquer la manœuvre.

Source : Banque du Canada et Cannex

Pour connaître les taux hypothécaires des différentes institutions financières canadiennes, veuillez consulter le site de CANNEX (sous « Mortgages » dans le menu de gauche).

 


Précisions sur les taux hypothécaires

Comme leurs noms l’indiquent, les taux variables font l’objet de réajustements en fonction des fluctuations des taux d’intérêt préférentiels des institutions financières, et les taux fixes, eux, demeurent inchangés pendant toute la durée du terme. Le terme d’un taux hypothécaire, qui peut aller de 6 mois à 10 ans, correspond à la durée pendant laquelle le taux fixé sera en vigueur.

Les taux suivis dans notre alerte hypothécaire sont  les taux affichés (ou administrés). Généralement, les taux administrés, qui peuvent très souvent faire l’objet d’une négociation, sont supérieurs aux taux effectivement pratiqués par les institutions financières.

Les taux hypothécaires et le marché de la revente au Québec

Le niveau des taux hypothécaires a un impact important sur le marché de la revente de par son influence sur le coût d’accès à la propriété et l’abordabilié du marché. Des taux hypothécaires faibles (élevés), en réduisant (en augmentant) les mensualités et le coût total d’un prêt hypothécaire, permettent d’attirer un plus grand (petit) nombre d’acheteurs et se traduisent donc par une activité plus (moins) importante sur le marché de la revente. Les taux hypothécaires influencent également les prix sur le marché, puisque avec des taux faibles (élevés), qui se traduisent par des mensualités moindres (plus importantes), les acheteurs potentiels sont capables d’acquérir une propriété dont le prix est plus (moins) élevé.

Source : http://www.fciq.ca

Première hausse des ventes en un an pour l’unifamiliale!

FCIQ_centrisLa Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) a dévoilé ses statistiques de ventes résidentielles pour le mois de juillet 2013. Les résultats provenant de la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers indiquent que 2 564 ventes résidentielles, incluant 1 560 unifamiliales et 751 copropriétés, ont été réalisées au cours du mois de juillet dans la région métropolitaine de Montréal (RMR). Fait important à signaler, l’unifamiliale a connu une hausse des ventes de 3 % par rapport au mois de juillet 2012, soit la première hausse enregistrée depuis un an.

« La croissance des ventes d’unifamiliales en juillet est intéressante à observer. Il ne s’agit pas encore d’un phénomène de croissance généralisée, nous remarquons que la hausse des ventes d’unifamiliales est surtout attribuable aux solides performances de la Rive-Nord (+10 %) et de l’île de Montréal (+7 %). D’ailleurs, les courtiers présents dans ces deux secteurs, qui continuent de connaître un niveau d’activité important, observent un engouement certain pour ce type de propriété », a souligné Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM.

Outre l’unifamiliale, les ventes de plex sont restées stables (0 %) et la copropriété a enregistré une diminution des ventes de 13 % par rapport au même mois l’an dernier.

Géographiquement, parmi les grands secteurs, seul celui de la Rive-Nord a enregistré une hausse globale de ventes, principalement en raison de la performance de l’unifamiliale. Il s’agit d’une première hausse en huit mois pour ce secteur.

Du côté du prix médian, on observe une augmentation de 3 % pour l’unifamiliale, alors que celui de la copropriété a baissé de 2 % et celui du plex, de 5 %, à l’échelle de la RMR en juillet 2013.

« Les conditions de marché ont poursuivi leur détente en juillet pour la copropriété et le plex. Pour l’unifamiliale, les conditions du marché sont demeurées équilibrées et le délai de vente moyen n’était que de 78 jours dans la région métropolitaine de Montréal en juillet, ce qui est relativement court. Il s’agit même d’une légère baisse par rapport à juillet 2012, la première en plus de deux ans », a souligné Paul Cardinal, directeur, Analyse du marché, de la Fédération des chambres immobilières du Québec.

Inscriptions en vigueur

Au 31 juillet 2013, on dénombrait 28 705 inscriptions en vigueur dans le système Centris®, soit une hausse de 16 % par rapport à la même période l’an dernier, ce qui représente la 35e hausse mensuelle consécutive. Alors que toutes les catégories de propriété ont connu des hausses significatives à ce chapitre, la copropriété se démarque une fois de plus avec une croissance de 24 %, tandis que l’unifamiliale et le plex ont connu des hausses respectives de 10 % et de 13 %.

Pour un douzième mois consécutif, les inscriptions en vigueur d’unifamiliales ont le plus fortement augmenté sur l’île de Montréal, de 20 %. En contrepartie, sur la Rive-Nord de Montréal, l’offre d’unifamiliales n’a augmenté que de 3 %. Pour la copropriété, c’est tout le contraire puisque c’est sur l’île de Montréal que la hausse a été la plus faible, de 18 %, alors qu’elle a augmenté le plus fortement à Laval (+47 %), à Vaudreuil-Soulanges (+40 %) et sur la Rive-Nord (+33 %).

Indice des prix des propriétés 

Voici les données pour juillet 2013 :

Pour plus d’information, veuillez consulter le site www.indicedesprixdesproprietes.ca .

Source : http://www.cigm.qc.ca

PERSPECTIVES DU MARCHÉ DE L’HABITATION 2013-2014

croissanceAu Québec, la croissance économique s’est mise à ralentir récemment, ce qui se traduira par une baisse de la demande sur les marchés de l’existant et du neuf cette année. De plus, en raison d’une perte de vigueur du marché de la revente et du niveau relativement élevé des stocks de logements neufs, les mises en chantier d’habitations diminueront considérablement en 2013. Ceci étant dit, les conditions d’emprunt toujours favorables et les tendances démographiques soutiendront la demande de logements jusqu’en 2014. À ce moment-là, les marchés de l’existant et du neuf seront tous deux dynamisés par un raffermissement de l’économie et un resserrement du marché de la revente.

Sur le plan économique, le marché du travail du Québec se ressent encore de la lenteur de la reprise au sud de la frontière et du fait que les perspectives d’emploi sont meilleures dans l’ouest canadien. Les investissements des entreprises connaissent une solide augmentation, mais les entreprises misent davantage sur le capital fixe que sur l’embauche. Les dépenses publiques et les dépenses de consommation sont modérées, et les exportations demeurent stables. Le Pib devrait croître de 1,2 à 2,1 % durant l’horizon prévisionnel.

Mises en chantier, logements individuels : en 2013, sous l’effet d’une progression modérée de l’emploi, de la détente persistante du marché de la revente et de la tendance qui favorise les logements collectifs, les mises en chantier de maisons individuelles diminueront encore et se chiffreront à 14 200. en 2014, un resserrement du marché de la revente aidera un peu le marché du neuf, de sorte que les constructeurs couleront les fondations de 14 500 maisons individuelles. si la demande se déplace vers le segment des logements collectifs, c’est parce que ceux-ci sont plus abordables, parce que les besoins changent à mesure que la population vieillit et parce que la densification résidentielle est de plus en plus souvent privilégiée.

Mises en chantier, logements collectifs : stimulée par la popularité des appartements en copropriété, l’offre de logements collectifs a considérablement augmenté. Comme l’activité a été vive durant trois ans, soit de 2010 à 2012, le marché des logements collectifs s’est beaucoup détendu. Le nombre de logements collectifs commencés sera donc considérablement réduit cette année : il descendra à 24 600. en 2014, le niveau des mises en chantier se hissera pour atteindre la barre des 26 200 unités.

Reventes : Après avoir été stables en 2012, les ventes Centris®12 se sont mises à baisser récemment en raison de la conjoncture économique décrite ci-dessus. malgré le redressement attendu pour la deuxième moitié de l’année, les reventes devaient diminuer cette année et se chiffrer à 72 400. elles recommenceront à croître l’an prochain, lorsque les conditions deviendront plus propices à l’achat d’une habitation. il est prévu que 76 500 ventes Centris® seront conclues en 2014. Prix : Étant donné que la demande de logements existants s’est contractée et que l’offre a pris de l’expansion, moins de pressions se sont exercées sur les prix au cours des derniers trimestres, et il devrait en être de même tout au long de 2014. Comme le marché est plus équilibré, la progression des prix continuera de s’atténuer sur le marché de la revente en 2013. Le prix moyen Centris®10 s’établira à 271 200 $ cette année et à 274 200 $ l’an prochain.

Source et données pour le autres provinces : http://www.cmhc-schl.gc.ca