Duplex à Montréal. VENDU / SOLD

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6435-6437 Boul. Langelier, Mercier/Hochelaga-Maisonneuve (Montréal), H1M 2C1

Spacieux duplex (trois unités) à distance de marche de Galeries d’Anjou et de métro Langelier. 2 grands 5 1/2 avec 3 chambres à coucher + 3 1/2 à aire ouverte au sous-sol. Garage double en tandem. Plusieurs rénovations: revêtement du toit 2011, fenêtres 2007, portes 2007. Chauffage électrique RDC et sous-sol 2011. Possibilité de double occupation.

Spacious duplex (3 units) 10min of Galeries d’Anjou and metro station Langelier: 2 large 5 1/2 with 3 bedrooms + big 3 1/2 in the basement. Garage in tandem. Renovations: roof 2011, windows 2007, doors 2007. Electric heating 1st floor and basement in 2011. Possibility of double occupancy.

Statistiques de ventes résidentielles Centris® – juillet 2014

stat201407La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) vient de publier les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, établies d’après la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers. Ainsi, 2 593 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du mois de juillet 2014, ce qui représente une hausse de 2 % par rapport au mois de juillet 2013. Il s’agit ainsi d’une deuxième hausse mensuelle consécutive. Rappelons que l’augmentation des ventes enregistrée en juin avait mis fin à une série de huit baisses mensuelles.

Source : http://cms.centris.ca/

Hausse des ventes résidentielles dans la région de Montréal

Graph of housing marketLa Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) a publié les plus récentes statistiques du marché résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, établies d’après la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers. Ainsi, 3 298 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du mois de juin 2014, une hausse de 3 % par rapport au mois de juin 2013. Il s’agit de la première augmentation des ventes en neuf mois.

STATISTIQUES DU MARCHÉ RÉSIDENTIEL – JUIN 2014
VENTES RÉSIDENTIELS DANS LA RÉGION DE MONTRÉAL +3% é
UNIFAMILIALE PLEX COPROPRIÉTÉ
2% é 1% é 8% é
PRIX MÉDIANE
2% é 5% é 0,00%
NOMBRE D’INSCRIPTIONS 10% é

L’article complet : http://www.cigm.qc.ca

Marché de la revente de plex : rétrospective des dix dernières années

FCIQ_centrisL’achat de petits immeubles locatifs de deux à cinq logements, communément appelés plex, s’est avéré un choix de prédilection auprès des petits investisseurs québécois au cours des dernières années. Le récent boum immobilier a fait exploser leur valeur de revente, qui a pratiquement doublé dans la majorité des secteurs géographiques où ils sont bien établis.

Les ventes se sont effritées depuis 10 ans

Le graphique 1 relate l’évolution des ventes par catégories de propriétés dans les six régions métropolitaines (Montréal, Québec, Gatineau, Sherbrooke, Saguenay et Trois-Rivières) de recensement (RMR) de la province regroupées. On y constate qu’au cours des dix dernières années une tendance baissière a affecté les ventes de plex (celle-ci se vérifie également pour chacune des RMR individuellement, sans exception). Ce n’est toutefois pas nécessairement le cas pour les autres catégories de propriétés. Ainsi, entre 2003 et 2013, pendant que le nombre de transactions d’unifamiliales connaissait une baisse de 11 %, le nombre de transactions de copropriétés a bondi de 40 %, tandis que le nombre de transactions de plex a fléchi de 35 %. Les ventes de plex étaient notamment moins nombreuses en 2013 qu’en 2003, la différence étant respectivement de 35 %, de 38 % et de 37 %, dans les régions métropolitaines de Montréal, de Québec et de Gatineau.

graph_image1

Une baisse aussi marquée des ventes de plex au cours des dernières années peut sembler plutôt surprenante compte tenu du contexte d’un marché immobilier en pleine ébullition et du très faible taux d’inoccupation des logements locatifs. Il faut toutefois se garder d’en conclure que les plex sont de moins en moins populaires auprès des acheteurs. D’autres indicateurs nous donnent d’ailleurs un son de cloche contraire.

Mais les plex sont néanmoins prisés par les acheteurs

Le graphique 2 relate l’évolution des délais de vente moyens par catégories de propriétés pour l’ensemble des six RMR. On y constate que, pendant que les délais de vente moyens augmentaient sensiblement pour la copropriété, ceux des plex sont demeurés assez similaires à ceux des unifamiliales et n’ont jamais dépassé les 90 jours. En fait, au cours des quatre dernières années, ce sont les plex qui ont affiché les délais de vente moyens les plus courts.

graph_image2

Si les ventes de plex ont diminué de cette façon au cours des dix dernières années, c’est sans doute en raison du rétrécissement de la taille du parc au fil des ans. D’une part, la construction de petits immeubles locatifs est quasi-inexistante depuis plusieurs années au Québec, en particulier dans les quartiers centraux où ils étaient jadis prédominants. D’autre part, petit à petit, malgré plusieurs restrictions à cet effet, un certain nombre de plex sont convertis en copropriétés chaque année.

Croissance des prix : les plex surpassent les autres catégories

Étant donné une rareté relative des plex sur le marché de la revente durant plusieurs années (graphique 3), de fortes pressions sur les prix se sont exercées. Au cours des dix dernières années, non seulement les prix des petits immeubles locatifs ont-ils considérablement augmenté, mais les hausses du prix moyen des plex, peu importe leur taille, ont dépassé celles des unifamiliales et des copropriétés.

L’état actuel du marché

Les données les plus récentes démontrent que, à l’instar de l’ensemble du marché de la revente québécois, le marché du plex est affecté depuis quelques mois par une baisse généralisée des ventes. Il faut dire que les rondes successives de resserrements des règles de l’assurance prêt hypothécaire (voir notamment Le quatrième resserrement hypothécaire, un an plus tard) ont fini par refroidir le marché. Rappelons qu’une des règles introduites en avril 2010, visant spécifiquement à limiter la présence d’investisseurs, a fait passer la mise de fonds minimale de 5 % à 20 % dans le cas de prêts relatifs à des immeubles de 1 à 4 logements dont aucun logement n’est occupé par le propriétaire. Une deuxième tendance récente à laquelle le plex n’échappe pas est la hausse généralisée des inscriptions en vigueur. En raison de celle-ci, combinée au ralentissement de l’activité, les conditions du marché se sont détendues, les délais de ventes se sont allongés et le rythme de croissance des prix a ralenti.

De façon générale, les conditions du marché sont désormais équilibrées dans les RMR de Montréal, de Québec et de Gatineau, mais sont à l’avantage des acheteurs dans les RMR de Sherbrooke, de Saguenay et de Trois-Rivières. Parmi les secteurs où les vendeurs de plex ont encore le plus gros bout du bâton lors des négociations, on compte les secteurs centraux de l’île de Montréal suivants : Rosemont, Le Sud-Ouest, Mercier/Hochelaga-Maisonneuve, Le Plateau et Villeray.

Article complet : http://fciq.ca/                              English version : http://fciq.ca/

Montréal – un marché encore favorable aux acheteurs.

statisticsLe marché immobilier de la grande région de Montréal a pris du mieux en août, mais les conditions de marché se sont détériorées dans le segment de la copropriété de certaines régions.

D’après les données recensées par la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), 2391 propriétés ont changé de main dans la région métropolitaine au cours du dernier mois, soit une hausse de 3% par rapport à la même période de 2012.

Il y a eu 9% de plus de copropriétés qui ont changé de propriétaire dans le Grand Montréal, soit 792. Le marché du condo a été particulièrement vigoureux sur l’île de Montréal, où les ventes ont bondi de 17%, et sur la Rive-Sud, où elles ont crû de 10%. Il s’agit du meilleur mois pour ces deux secteurs depuis 2009, souligne la Chambre.

Les prix de tous les types de propriétés ont augmenté. Le prix médian des maisons unifamiliales a progressé de 2% à 285 000$, ceux des copropriétés de 3% à 232 000$ et ceux des plex (2 à 5 logements) de 5% à 435 000$.

Août est le premier mois où l’on compare les chiffres entre deux périodes ayant été affectées par le resserrement des règles hypothécaires mises en place par Ottawa en juillet 2012.

Un marché d’acheteurs

Malgré la hausse des ventes, les marchés de chacun des grands secteurs favorisent actuellement les acheteurs, dit la Chambre immobilière.

Le prix médian des copropriétés, notamment, se comporte en dents de scie depuis le début de 2013, passant de légères augmentations à de légères diminutions.

Il faut dire que l’offre de copropriétés à vendre continue de croître à grande vitesse. Il s’est accru de 23% en août dans la région métropolitaine, soit une augmentation similaire à celle observée en juillet et en juin (24% et 23%).

À Laval, le nombre de condos à vendre a bondi de 51% de juillet à août, soit la plus forte hausse parmi les régions de la métropole. Le prix de vente médian des condos a d’ailleurs reculé de 8% à Laval en comparaison du même mois de 2012.

Le marché est aussi difficile pour la région de la Rive-Nord, où les ventes de copropriétés ont fléchi de 15% en août 2013 par rapport à l’année dernière.

À l’inverse, il y a eu 10% de plus de ventes de condos dans la région de la Rive-Sud.

Source : http://www.lesaffaires.com/