Hausse des ventes résidentielles dans la région de Montréal

Graph of housing marketLa Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) a publié les plus récentes statistiques du marché résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, établies d’après la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers. Ainsi, 3 298 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du mois de juin 2014, une hausse de 3 % par rapport au mois de juin 2013. Il s’agit de la première augmentation des ventes en neuf mois.

STATISTIQUES DU MARCHÉ RÉSIDENTIEL – JUIN 2014
VENTES RÉSIDENTIELS DANS LA RÉGION DE MONTRÉAL +3% é
UNIFAMILIALE PLEX COPROPRIÉTÉ
2% é 1% é 8% é
PRIX MÉDIANE
2% é 5% é 0,00%
NOMBRE D’INSCRIPTIONS 10% é

L’article complet : http://www.cigm.qc.ca

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Le tirage aura lieu le  14 Janvier 2016 à 19:00 au Restaurant “ERMITAGE”.

Ce concours est réservé pour mes clients, qui achètent ou vendent leur propriété avec moi du 01 Juillet au 31 Décembre 2015.

Les gagnants du tirage précédant : 23 Juillet 2015
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The draw will take place January 14, 2016 at 19:00 at Restaurant “HERMITAGE”.

This contest is reserved for my clients, who buy or sell their property with me from 01 July to 31 December 2015.

The winners of the draw before:  July 23, 2015

Hypothèque: la SCHL prévoit une baisse des défauts de paiement

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La Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) s’attend à ce que les montants des prêts hypothécaires non remboursés diminuent cette année, comparativement à 2013.

L’encours d’assurance de la SCHL totalisait 557,1 milliards $ l’an dernier.

Dans son rapport annuel rendu public lundi, la SCHL dit s’attendre à ce que cette somme diminue à 544,8 milliards $ en 2014, ce qui serait son niveau le plus bas depuis 2010.

L’ARTICLE COMPLET : http://www.lesaffaires.com/

Ventes résidentielles : pas d’embellie en avril

stat apr 2014La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) vient de publier les statistiques du marché résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal, établies d’après la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers. Ainsi, 4 184 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du mois d’avril 2014, ce qui représente une baisse de 9 % par rapport au mois d’avril 2013. Il s’agit d’un cinquième recul mensuel consécutif des ventes.

Les trois catégories de propriétés ont connu des baisses similaires du nombre de transactions, soit de 8 %, de 9 % et de 8 % respectivement pour l’unifamiliale, la copropriété et le plex. Dans le cas de la copropriété, le recul des ventes en avril est le septième consécutif.

Sur le plan géographique, tous les secteurs ont été affectés par le ralentissement de l’activité. La diminution la plus faible (-5 %) est survenue dans Vaudreuil-Soulanges, mettant ainsi fin à six hausses consécutives des ventes dans ce secteur. Laval, la Rive-Sud et l’Île de Montréal ont enregistré des baisses de 6 %, de 8 % et de 9 % respectivement, tandis que le recul le plus prononcé appartient à la Rive-Nord, avec 10 % de ventes en moins par rapport à avril 2013.

Les prix se maintiennent

Le prix médian des propriétés, à l’échelle de la région métropolitaine, a enregistré une hausse de 1 %, tant pour l’unifamiliale (282 000 $), que pour la copropriété (225 000 $) et le plex (429 000 $). Soulignons la progression de 4 % du prix médian des unifamiliales sur la Rive-Sud.

Au 30 avril 2014, on dénombrait 35 904 inscriptions en vigueur au système Centris®, une hausse de 9% par rapport à la même période l’an dernier. Le nombre de propriétés à vendre est en hausse depuis maintenant 44 mois consécutifs.

« Étant donné l’augmentation du nombre d’inscriptions et la baisse des ventes depuis quelques mois, les acheteurs regagnent du pouvoir de négociation, en particulier s’ils magasinent une copropriété, dont les conditions de marché sont clairement à l’avantage des acheteurs dans la majorité des secteurs », souligne Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM.

En dernier lieu, les délais de vente moyens ont augmenté de 9 jours pour l’unifamiliale (91 jours) et de 15 jours (113 jours) pour la copropriété, tandis que les plex ont trouvé preneur en 78 jours en moyenne, soit 9 jours de moins qu’en avril 2013.

Source : http://cms.centris.ca/

Marché hypothécaire: les prêteurs québécois sous pression

Une étude de JLR Recherche immobilière révèle que les leaders du prêt hypothécaire au Québec n’ont pas progressé depuis 10 ans. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

Les parts de marché des principales institutions financières québécoises ont soit reculé, soit fait du surplace depuis 10 ans dans le créneau stratégique des prêts hypothécaires, révèle une récente étude.

Que ce soit Desjardins, la Banque Nationale ou la Laurentienne, aucune des trois principales institutions financières n’a gagné de terrain dans le marché des hypothèques entre 2004 et 2013, en fonction de la base de calcul retenue par la firme montréalaise de collectes de données JLR Recherche immobilière.

L’étude, qui dresse le portrait de la situation concurrentielle dans les principales régions du Québec, a été présentée récemment devant l’Association des prêteurs hypothécaires du Grand Montréal et elle a suscité, au dire de JLR, un grand intérêt.

Recul des leaders

À l’échelle de la province, l’étude révèle que la part de marché de la Banque Nationale (BN) en ce qui a trait au nombre de prêts émis durant l’année recule de 2 points de pourcentage et celle de Desjardins, de 1,2 point. Quant à la Laurentienne, elle a maintenu sa part de marché au cours de la période.

«Ce sont des résultats plausibles», reconnaît Nicolas Fréchette, conseiller principal en financement habitation chez Desjardins. L’institution financière se sert des données de JLR depuis deux ans, signe de leur utilité, souligne-t-il.

Desjardins et la Nationale sont les deux principaux prêteurs hypothécaires au Québec, avec respectivement 35% et 13% du marché en 2013, selon JLR. Outre ces deux leaders qui ont subi une érosion de leur part de marché par rapport à 2004, la CIBC, discrète depuis des années dans la province, est l’autre grande perdante, laissant 2 points de pourcentage sur la table.

Le recul de ces trois institutions a bénéficié principalement à BMO qui avance de 1,1 point. Ses gains se concentrent à Montréal, à Gatineau et à Sherbrooke. Les autres gagnants sont les prêteurs non traditionnels, au premier chef Manuvie et First National qui ajoutent respectivement 2,3 points et 1,5 point à leur part de marché respective.

«Manuvie croît à un rythme plus rapide que le marché hypothécaire dans son ensemble», dit Lise Roy, vice-présidente régionale aux ventes pour l’Est du Canada, dans un courriel. Elle y soutient que son réseau de distribution, qui repose sur des conseillers financiers indépendants et la commercialisation de produits novateurs comme Manuvie Un, un compte intégré incluant le prêt hypothécaire et le compte chèques, contribuent à son succès.

Le recul des prêteurs traditionnels, jumelé à la montée des prêteurs sans succursale, s’expliquerait en partie, selon M. Fréchette, de Desjardins, par le resserrement des critères de crédit appliqué par les prêteurs dominants à partir de 2008. La frange des clients plus à risque serait ainsi passée du côté des prêts non traditionnels, avance-t-il en guise d’explication.

Le recours aux services de courtier hypothécaire par les propriétaires domiciliaires a aussi joué un rôle dans la popularité des prêteurs non traditionnels, d’autant que les principaux prêteurs (Desjardins, Royale, BMO) ont limité leurs relations avec les courtiers hypothécaires pendant la période étudiée.

JLR a compilé les prêts hypothécaires – résidentiels et non résidentiels – émis au Québec pendant l’année 2013 en fonction des prêteurs et a ensuite comparé les résultats avec la situation qui prévalait en 2004.

Volume de prêts

Notons que les institutions financières analysent les parts de marché en fonction du volume de prêts, et non pas en fonction du nombre de transactions. C’est le cas de la Banque Nationale, qui arrive à des résultats différents de ceux de JLR.

«Nos parts de marché ont progressé en 2013 au Canada, soutient Marie-Pierre Jodoin, porte-parole de la BN. Nous avons déployé une nouvelle plateforme hypothécaire au sein de notre réseau durant l’année 2013. Le traitement rapide des demandes nous donne un avantage concurrentiel», dit-elle.

Mme Jodoin n’a pas voulu commenter les résultats régionaux, notamment à Gatineau où l’étude de JLR montre une baisse de plus de 6 points de pourcentage de la part de marché de la BN entre 2004 et 2013. La Nationale est passée du 2e au 5e rang des prêteurs hypothécaires dans cette région.

Pour sa part, Desjardins essuie un recul dans la région de Québec et de Lévis, là où se trouve pourtant son siège social. «La vitalité des mises en chantier à Québec dans les dernières années a attiré les concurrents, dit M. Fréchette. Nous sommes néanmoins satisfaits d’y détenir encore aujourd’hui 42% du marché hypothécaire.»

Desjardins domine l’ensemble des marchés régionaux, mais son avance est plus ténue à Montréal et en Outaouais, où la concurrence des banques canadiennes est vive.

Parts de marché hypothécaire

MONTRÉAL, 2013 (%)
Desjardins 22
Royale 12
Banque Nationale 11
BMO 11
TD Canada Trust 11
Autres 33

Source : http://affaires.lapresse.ca/