Selon l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), les ventes résidentielles au Canada ont grimpé de 4,2 % en avril 2019 par rapport au même mois de l’année précédente.
« Les ventes se stabilisent dans les cinq marchés urbains les plus actifs », affirme Gregory Klump, économiste en chef de l’ACI. « Le Grand Vancouver ne figure plus parmi les cinq premiers marchés urbains pour la première fois depuis la récession et il favorise pleinement les acheteurs. Les ventes à cet endroit continuent de tendre à ralentir, tandis que les acheteurs s’adaptent au cocktail de défis liés à l’abordabilité du logement, à l’accessibilité réduite au financement en raison de la simulation de crise pour les prêts hypothécaires et aux changements apportés à la politique du logement du gouvernement de la Colombie-Britannique », précise M. Klump.
Du côté des provinces, la Colombie-Britannique (-18,8 %), a connu une baisse sensible des ventes résidentielles comparativement à avril 2018, tandis que le Québec (+10,9 %), l’Ontario (+10,1 %) et enfin l’Alberta (+2,6 %) affichent une hausse.
Le prix moyen des maisons vendues au pays en avril 2019 était de 495 000 $, soit une hausse de 0,3 % comparativement au même mois l’année dernière. Si l’on exclut du calcul les marchés du Grand Vancouver et du Grand Toronto, les deux marchés les plus actifs et les plus chers au Canada, le prix moyen national baisse à juste un peu plus de 391 000 $.
En savoir plus sur cette nouvelle : Communiqué officiel de l’ACI
les prix de l’immobilier
Marché immobilier. 2E TRIMESTRE DE 2018.
Le marché a conservé son dynamisme au deuxième trimestre de 2018 :
• Ainsi, 14 771 propriétés résidentielles ont changé de mains dans l’ensemble de la RMR, soit 4 % de plus que le nombre observé à la même période un an auparavant.
• Cela fait désormais 16 trimestres que les ventes résidentielles ne cessent de croître dans la région.
• La copropriété demeure le segment le plus dynamique avec une hausse de 13 % (5 120), tandis que les ventes de plex (1 332) ont enregistré une timide augmentation de 1 %.
• En revanche, les ventes d’unifamiliales (8 301) ont reculé (-1 %) pour la première fois depuis le deuxième trimestre de 2014.
• Le prix médian a continué de croître pour l’unifamiliale (322 509 $) et la copropriété (253 000 $), avec une hausse de 3 %. Le prix médian des plex de deux à cinq logements (510 000 $) a
également poursuivi sa progression (+7 %).
• À l’instar du trimestre précédent, les secteurs de l’île de Montréal et de Vaudreuil-Soulanges se sont démarqués en affichant les plus fortes hausses du prix médian des unifamiliales (+7 % et +12 % respectivement).
• Ces deux secteurs se sont également distingués par les plus fortes progressions du prix médian des copropriétés, c’est-à-dire de 5 % pour l’île de Montréal et de 6 % pour Vaudreuil-Soulanges.
• En moyenne, un peu plus de 24 000 propriétés résidentielles étaient affichées dans l’ensemble de la RMR sur le système Centris d’avril à juin. Il s’agit d’une diminution de 17 % et du onzième recul trimestriel consécutif à ce chapitre.
• La baisse des inscriptions en vigueur a été particulièrement prononcée pour les unifamiliales (-14 %) et les copropriétés (-22 %). Les plex de deux à cinq logements ont également vu leur offre se tarir, mais dans une moindre mesure, avec une diminution des inscriptions de 6 %. C’est l’île de Montréal qui a enregistré la plus forte contraction de l’offre, soit une diminution de 20 % du nombre de propriétés résidentielles à vendre.
• Les délais de vente moyens ont continué de se raccourcir : en moyenne, il fallait respectivement 73 jours (-11), 95 jours (-14) et 71 jours (-10) pour vendre une unifamiliale, une copropriété et un plex dans l’ensemble de la RMR.
Source : https://www.fciq.ca
MARCHÉ IMMOBILIER MONTRÉALAIS – 4E TRIMESTRE 2017
VENTES
• L’année 2017 s’est terminée en beauté, avec une augmentation de 9 % des ventes résidentielles (9 572) au quatrième trimestre.
• Au cumul de l’année, 44 448 ventes ont été conclues, soit le deuxième total en importance de l’histoire de la région montréalaise. Il s’agit d’une croissance de 8 % par rapport à 2016 et d’une troisième hausse annuelle consécutive.
• Toutes les catégories de propriétés ont connu une augmentation des ventes en 2017. La copropriété s’est nettement démarquée, grâce à une progression des ventes de 17 %. Les plex de deux à cinq logements et les maisons unifamiliales ont pour leur part affiché des gains de 6 % et de 3 % respectivement à ce chapitre.
• Tous les secteurs géographiques ont vu leurs ventes croître en 2017 : Vaudreuil-Soulanges (+13 %), l’île de Montréal (+11 %), Saint-Jean-sur-Richelieu (+9 %), Laval (+6 %), la Rive-Sud (+5 %) et la Rive-Nord (+4 %).
• Le haut de gamme a connu une année faste, les ventes d’unifamiliales de plus de 1 000 000 $ ayant crû de 20 %, et celles de copropriétés de plus de 500 000 $, de 42 %
Prix médian
• La croissance des prix s’est nettement accélérée en 2017 : l’augmentation du prix médian des unifamiliales (310 000 $) a été de 7 %, alors que de 2013 à 2016, la hausse n’a été que de 2 % par année. Il s’agit de la plus forte hausse de prix en sept ans.
• Du côté de la copropriété, le prix médian a atteint 247 000 $, soit une progression de 3 %. Encore ici, il s’agit d’une accélération par rapport à la hausse de seulement 1 % observée en 2016.
• En ce qui a trait aux plex, dont le prix médian s’est élevé à 476 000 $, l’augmentation est de 4 % en 2017, une croissance identique à celle enregistrée en 2016.
Inscriptions en vigueur
• Pour une deuxième année consécutive, le nombre de propriétés à vendre s’est replié en 2017 : on en dénombrait (27 635) sur le système Centris®, soit une forte diminution de 13 %.
• C’est pour l’unifamiliale que la baisse de l’offre a été la plus marquée : elle était de l’ordre de 17 %, comparativement à des diminutions de 14 % pour le plex et de 9 % pour la copropriété.
• Sur le plan géographique, ce sont les secteurs de Saint-Jean-sur-Richelieu (-18 %) et de l’île de Montréal (-17 %) qui ont accusé les plus fortes baisses.
Conditions du marché
• De manière générale, 2017 se termine dans des conditions du marché nettement à l’avantage des vendeurs pour l’unifamiliale et les plex. La rareté de l’offre d’unifamiliales par rapport à la demande est indéniable sur l’île de Montréal, où le nombre de mois d’inventaire est légèrement inférieur à 5.
• Pour la copropriété, le portrait diffère puisque, globalement, les conditions du marché sont équilibrées. Néanmoins, de plus en plus de secteurs centraux confèrent désormais un avantage aux vendeurs lors de la négociation.
Source : http://www.fciq.ca
Lire le rapport complet : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl.pdf
English version : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl-en.pdf
Montreal Real Estate market – buy now or risk to be late.
The recent article in Montreal Gazette confirm once again what I am constantly saying to my clients : buy now or you will miss your chance. Year after year Montreal home ownership became less and less affordable.
Montreal’s real estate market is about to become a game of musical chairs, and anybody who doesn’t get a seat soon could be left standing, permanently.
An average person with average income can still entertain thoughts of buying a house downtown. The slow but steady increases in prices – two, three, four per cent – can act like the proverbial slowly heating water the frog doesn’t know is about to boil. But if you’re renting now, and figure you’ll buy a house someday when that next promotion comes through or the baby’s born, it might be too late.
All the signs of a market on the brink of unaffordability are there. Worries about a saturated condo market sagging in 2015 turned around sharply in 2016. Montreal registered the lowest unemployment rate in 30 years last December, and immigration levels are skyrocketing, with the first six months of 2016 – the latest figures available – outstripping all of 2015.
And foreign investors are almost certainly already on their way to the next undervalued, untapped real estate market now that Ontario has imposed a 15 per cent tax on foreign buyers in Toronto as B.C. did for Metro Vancouver. More money drives prices up. So does more people. Put them both together in a city with the obvious and perennial attractions of Montreal, and it might spell the end of the affordable house on the island.
By BERT ARCHER, THE MONTREAL GAZETTE
Read full article : http://montrealgazette.com/
Immobilier à Montréal – croissance continue. 3-e trimestre 2016.
La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) vient de publier les plus récentes statistiques du marché immobilier résidentiel de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal.
Voici les principales statistiques du troisième trimestre de 2016, comparées à celles de la même période en 2015.
Ventes :
- Les 8118 transactions conclues au troisième trimestre représentent un sommet d’activité en sept ans pour cette période de l’année.
- Les ventes de copropriétés ont bondi de 11 %, soit la croissance la plus importante parmi les trois catégories de propriétés. L’unifamiliale et le plex ont également enregistré de bons résultats au troisième trimestre, ces catégories ayant toutes deux affiché une augmentation de 4 % à ce chapitre.
- Sur le plan géographique, l’île de Montréal (+8 %), la Rive-Sud (+8 %), la Rive-Nord (+6 %) et Vaudreuil-Soulanges (+4 %) ont toutes connu des hausses d’activité au troisième trimestre. Seul le secteur de Laval (-5 %) a essuyé un repli du nombre de transactions résidentielles.
- Les ventes de propriétés de 500000 $ et plus, toutes catégories confondues, se sont accrues de 24 % à l’échelle de la RMR comparativement à un an plus tôt.
Prix:
- Les prix médians des copropriétés (250000 $) et des petits immeubles locatifs (455000 $) ont tous deux progressé de 2 % au troisième trimestre de 2016. Les unifamiliales (304000 $) ont quant à elles affiché une hausse plus soutenue de leur prix médian, à hauteur de 5 %.
- Pour l’unifamiliale, la plus forte hausse (+5 %) parmi les cinq grands secteurs de la RMR appartient à Laval (304000 $), ex aequo avec l’Île de Montréal (420 000 $).
- Pour la copropriété, la moitié des unités transigées sur l’île de Montréal se sont vendues à un prix supérieur à 295000 $. Cette augmentation de 4 % sur douze mois est la plus importante dans la région montréalaise au troisième trimestre.
Inscriptions en vigueur:
- 28490 propriétés affichaient « À vendre » dans la RMR de Montréal de juillet à septembre 2016, soit 12 % de moins qu’à la même période en 2015. Il s’agit d’une quatrième baisse trimestrielle consécutive.
Source : Centris.ca