Statistiques de ventes résidentielles. Novembre 2013.

Marché immobilier résidentiel dans la région de Montréal : l’activité est demeurée stable en novembre.

stat 11-2013La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) a publié aujourd’hui les statistiques de ventes résidentielles de la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal. Selon la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers, 2 629 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du mois de novembre 2013, représentant une hausse de 1 % par rapport au mois de novembre 2012.

« Le segment de l’unifamiliale a obtenu de bons résultats au chapitre des ventes en novembre, grâce à des augmentations en banlieue, en particulier du côté de la Rive-Sud et de Vaudreuil-Soulanges qui ont connu des hausses de ventes respectives de 14 % et de 21 % », a déclaré Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM.

La copropriété et les plex, pour leur part, ont tous deux enregistré des baisses de ventes, la plus prononcée étant celle des plex, qui affichent une diminution de ventes de 10 % au cours de la période comparée.

Avec des hausses respectives de 13 % et de 17 %, la Rive-Sud et Vaudreuil-Soulanges sont les deux seuls secteurs à avoir affiché une hausse de ventes en novembre 2013.

Le prix médian des unifamiliales, à l’échelle de la RMR, s’est élevé de 1 % en novembre 2013, pour se fixer à 278 000 $. Il est resté stable sur la Rive-Sud et à Vaudreuil-Soulanges, alors qu’il a connu une augmentation de 3 % à Laval et sur la Rive-Nord, et une baisse de 5 % sur l’île de Montréal.

Le prix médian des copropriétés, de 233 000 $, a enregistré une diminution de 3 % pour l’ensemble des secteurs. Les conditions de marché pour l’unifamiliale demeurent équilibrées à l’échelle de la RMR. Le secteur de Vaudreuil-Soulanges est le seul où le
marché de l’unifamiliale avantage les acheteurs, alors que le secteur de Laval est le seul où ce marché favorise encore les vendeurs.

Au 30 novembre 2013, on dénombrait 30 955 inscriptions en vigueur dans le système Centris®, soit une hausse de 9 % par rapport à la même période l’an dernier, et la 39e hausse mensuelle consécutive.

Notons que, comme c’est le cas depuis janvier 2012, la copropriété a de nouveau enregistré les plus fortes hausses d’inscriptions en vigueur. L’augmentation de 13 %, en novembre, est toutefois légèrement inférieure à celle observée le mois dernier.

Source : http://centris.ca/

Les ventes résidentielles repartent à la hausse au troisième trimestre de 2013

FCIQ_centrisLa fédération des chambres immobilières de Québec vient de publier “Le Baromètre FCIQ du marché résidentiel” pour le 3-ième trimestre 2013. Voici quelques extraits:

Après avoir connu quatre baisses trimestrielles consécutives relativement importantes suite à l’entrée en vigueur de règles hypothécaires plus restrictives, les ventes résidentielles dans la région métropolitaine de recensement (RMR) de Montréal sont reparties à la hausse au troisième trimestre de 2013. Ainsi, selon la base de données des courtiers immobiliers, 7 320 transactions résidentielles ont été réalisées par l’intermédiaire du système Centris® dans la RMR de Montréal de juillet à septembre 2013, une hausse de 2 % par rapport à la même période en 2012. Cette augmentation n’a toutefois pas suffi à compenser la baisse de 8 % survenue au troisième trimestre de 2012.

La banlieue nord à contre-courant

Sur le plan géographique, la majorité des secteurs de la RMR de Montréal ont connu une augmentation des ventes résidentielles au cours du troisième trimestre de 2013. Le secteur de la Rive-Sud a affiché la plus forte progression avec une augmentation de 9 % des ventes par rapport au troisième trimestre de 2012, suivi par Vaudreuil-Soulanges (+6 %) et l’île de Montréal (+4 %). En revanche, les secteurs de la banlieue nord, soit la Rive-Nord et Laval, ont quant à eux affiché des baisses de ventes de 2 % et de 8 % respectivement. En ce qui concerne la Rive-Nord, il s’agit du quatrième recul consécutif à ce chapitre, alors que dans le cas de Laval, il s’agit du cinquième. Notons toutefois que pour ces deux secteurs, les baisses enregistrées au troisième trimestre de 2013 ont été bien moins prononcées que lors des trimestres précédents.  Finalement, soulignons la bonne performance du secteur Ville-Marie sur l’île de Montréal, avec une hausse des ventes de 28 % (295 transactions) et, sur la Rive-Sud, l’augmentation de 42 % des ventes dans le secteur Boucherville/Saint-Bruno (155 transactions), ce qui représente, pour ce secteur, le niveau de ventes le plus élevé pour un troisième trimestre depuis 2009.

Stabilisation des prix pour les copropritétés et les plex.

Les conditions du marché pour l’unifamiliale se sont détendues au troisième trimestre de 2013, tout en demeurant à l’équilibre. Le marché du plex était lui aussi encore à l’équilibre, alors que le marché de la copropriété avantageait les acheteurs dans l’ensemble de la RMR de Montréal. Les conditions actuelles du marché se sont traduites par une relative stabilité des prix. Ainsi, pour l’ensemble de la région montréalaise, le prix médian des unifamiliales a augmenté de 2 % au troisième trimestre de 2013, pour atteindre 282 500 $. Le prix médian des copropriétés est quant à lui demeuré stable pour un troisième trimestre consécutif, soit à 229 658 $. Il en va de même pour le prix médian des plex qui, après avoir affiché la plus forte hausse durant les deux trimestres précédents, est demeuré au même niveau qu’au troisième trimestre de 2012 (425 000 $).

Source : http://www.fciq.ca

Montréal – un marché encore favorable aux acheteurs.

statisticsLe marché immobilier de la grande région de Montréal a pris du mieux en août, mais les conditions de marché se sont détériorées dans le segment de la copropriété de certaines régions.

D’après les données recensées par la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), 2391 propriétés ont changé de main dans la région métropolitaine au cours du dernier mois, soit une hausse de 3% par rapport à la même période de 2012.

Il y a eu 9% de plus de copropriétés qui ont changé de propriétaire dans le Grand Montréal, soit 792. Le marché du condo a été particulièrement vigoureux sur l’île de Montréal, où les ventes ont bondi de 17%, et sur la Rive-Sud, où elles ont crû de 10%. Il s’agit du meilleur mois pour ces deux secteurs depuis 2009, souligne la Chambre.

Les prix de tous les types de propriétés ont augmenté. Le prix médian des maisons unifamiliales a progressé de 2% à 285 000$, ceux des copropriétés de 3% à 232 000$ et ceux des plex (2 à 5 logements) de 5% à 435 000$.

Août est le premier mois où l’on compare les chiffres entre deux périodes ayant été affectées par le resserrement des règles hypothécaires mises en place par Ottawa en juillet 2012.

Un marché d’acheteurs

Malgré la hausse des ventes, les marchés de chacun des grands secteurs favorisent actuellement les acheteurs, dit la Chambre immobilière.

Le prix médian des copropriétés, notamment, se comporte en dents de scie depuis le début de 2013, passant de légères augmentations à de légères diminutions.

Il faut dire que l’offre de copropriétés à vendre continue de croître à grande vitesse. Il s’est accru de 23% en août dans la région métropolitaine, soit une augmentation similaire à celle observée en juillet et en juin (24% et 23%).

À Laval, le nombre de condos à vendre a bondi de 51% de juillet à août, soit la plus forte hausse parmi les régions de la métropole. Le prix de vente médian des condos a d’ailleurs reculé de 8% à Laval en comparaison du même mois de 2012.

Le marché est aussi difficile pour la région de la Rive-Nord, où les ventes de copropriétés ont fléchi de 15% en août 2013 par rapport à l’année dernière.

À l’inverse, il y a eu 10% de plus de ventes de condos dans la région de la Rive-Sud.

Source : http://www.lesaffaires.com/

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Feuillet Accession à la propriété >>>

SOURCE : http://ville.montreal.qc.ca

 

Valeur de marché des maisons unifamiliales

Quand un agent immobilier vous parle de l’inscription de votre maison, vous entendrez beaucoup parler de «valeur marchande», mais qu’est-ce qu’il faut entendre sous ce terme? Dans cet article, nous allons seulement examiner ce qui est la valeur de marché d’une maison unifamiliale, car différentes normes et méthodes de calcul s’appliquent aux biens commerciaux et aux investissements.

Valeur de marché des maisons unifamiliales

En termes simples, la valeur marchande d’une maison est le prix auquel il faut là vendre une fois qu’elle est mise sur le marché pour un laps de temps raisonnable, ce qui signifie généralement 30 à 90 jours.

Dans cette définition, les deux principales variables qui influent sur la valeur marchande d’une maison sont la maison elle-même, et la période au cours de laquelle il est en vente. Tout d’abord, penchons-nous sur la maison elle-même. Chaque maison se trouve dans une sorte de quartier, que ce soit au milieu du centre-ville ou en banlieue, et l’emplacement d’une maison aura une grande influence sur sa valeur marchande.

Le quartier est important, mais l’état de la maison est également un facteur important quand il s’agit de déterminer sa valeur marchande. La plus belle maison dans le quartier général aura la valeur marchande la plus élevée, tandis qu’une maison qui a besoin de beaucoup de travaux de rénovation vaudra moins, même si c’est dans le meilleur quartier de la ville.

L’état et l’emplacement d’une maison aura une incidence sur ça valeur marchande en proportion de la rapidité avec laquelle le propriétaire veut le vendre. Afin d’attirer un plus grand nombre d’acheteurs et de vendre la maison plus rapidement, le prix devra être inférieur, ce qui nous amène au deuxième facteur dans l’équation de la valeur de marché: le temps.

Peu importe où il peut se trouver, si une maison ne se vend pas dans la période de un à trois mois de commercialisation, les chances sont qu’elle est trop chère. Même les toutes nouvelles maisons, de toutes nouvelles subdivisions, dans la partie la plus désirable de la ville ne se vendra pas, dans les trente à soixante jours si le prix est trop élevé. (D’un autre côté, si une maison se vend en une semaine ou moins, il y a des chances que le prix de marché était trop bas. Mais la plupart du temps, les erreurs dans le calcul de la valeur de marché sont réalisées sur le côté trop élevé.)

Détermination de la valeur de marché est à la fois un art et une science, et un agent immobilier qualifié, possédant des informations sur la région, d’autres annonces et ventes antérieures, peuvent généralement s’approcher de la réalité à un prix qui permettra à la maison d’être vendue dans les une à trois mois. Après tout, c’est mon travail de vous aider à déterminer le meilleur prix de vente possible – dans un laps de temps raisonnable.

Source : http://www.canadarealestatedirectory.com/articles