Mortgage help for some first-time homebuyers

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On the eve of a federal election this fall, the Liberal government is looking to help more Canadians buy their first homes by picking up a portion of their mortgage costs and increasing the amount they can borrow from their retirement savings for a down payment.

Helping people enter the housing market has been a growing preoccupation for the Liberals ever since they were elected in 2015, with soaring real estate prices in some of Canada’s largest cities putting home ownership beyond the reach of many.

An estimated 1.6 million Canadian households are considered in “core housing need,” meaning people who are living in places that are either too expensive or don’t suit their needs.

The means-tested incentive the Liberals unveiled Tuesday would only be available to households with incomes under $120,000 – roughly $50,000 more than the median household income as calculated by Statistics Canada – and on mortgages no more than four times the household’s total income.
Eligible buyers would see the government pick up part of the costs of their mortgages to lower their monthly payments, with the amount of help determined by their incomes and whether they’re buying an existing or newly built home.

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The government also plans to raise the maximum amount a first-time buyer can withdraw from an RRSP: $35,000, up from $25,000. And while the program has long been restricted to new would-be homeowners, those who are recovering from the breakup of a marriage or common-law relationship would also be allowed to take part.

The measure, expected to cost $1.25 billion over three years beginning this fiscal year, would target Canadians “that face legitimate challenges entering housing markets” after qualifying for a mortgage, the budget document says. An additional $100 million would flow to the Canada Mortgage and Housing Corporation to help organizations that already provide the so-called “shared equity mortgages.”

The program, some details of which are yet to be finalized, is part of a tranche of spending that includes establishing a national expert panel on housing supply and affordability, better data collection, and $300 million for a contest to encourage cities to come up with new ways of expanding housing stock.

The new measures could increase the annual number of new homebuyers nationally to 140,000 from 100,000 by lowering monthly payments without creating higher household debt loads, said Finance Minister Bill Morneau, who was confident the measures won’t cause a spike in housing prices.

“We’re recognizing that it is challenging for people in the housing market; it’s a real issue, but what we’ve done is we’ve carefully looked at what’s the best way to deal with that issue,” Morneau told a news conference.

“It’s not going to make an impact on the overall market from a pricing standpoint, meaning people are actually going to be better off, more optimism in terms of housing, and it’s the reason we’re very excited about this measure.”

Source : https://bc.ctvnews.ca/

MARCHÉ IMMOBILIER MONTRÉALAIS – 4E TRIMESTRE 2017

VENTES

• L’année 2017 s’est terminée en beauté, avec une augmentation de 9 % des ventes résidentielles (9 572) au quatrième trimestre.
• Au cumul de l’année, 44 448 ventes ont été conclues, soit le deuxième total en importance de l’histoire de la région montréalaise. Il s’agit d’une croissance de 8 % par rapport à 2016 et d’une troisième hausse annuelle consécutive.
• Toutes les catégories de propriétés ont connu une augmentation des ventes en 2017. La copropriété s’est nettement démarquée, grâce à une progression des ventes de 17 %. Les plex de deux à cinq logements et les maisons unifamiliales ont pour leur part affiché des gains de 6 % et de 3 % respectivement à ce chapitre.
• Tous les secteurs géographiques ont vu leurs ventes croître en 2017 : Vaudreuil-Soulanges (+13 %), l’île de Montréal (+11 %), Saint-Jean-sur-Richelieu (+9 %), Laval (+6 %), la Rive-Sud (+5 %) et la Rive-Nord (+4 %).
• Le haut de gamme a connu une année faste, les ventes d’unifamiliales de plus de 1 000 000 $ ayant crû de 20 %, et celles de copropriétés de plus de 500 000 $, de 42 %

Prix médian

• La croissance des prix s’est nettement accélérée en 2017 : l’augmentation du prix médian des unifamiliales (310 000 $) a été de 7 %, alors que de 2013 à 2016, la hausse n’a été que de 2 % par année. Il s’agit de la plus forte hausse de prix en sept ans.
• Du côté de la copropriété, le prix médian a atteint 247 000 $, soit une progression de 3 %. Encore ici, il s’agit d’une accélération par rapport à la hausse de seulement 1 % observée en 2016.
• En ce qui a trait aux plex, dont le prix médian s’est élevé à 476 000 $, l’augmentation est de 4 % en 2017, une croissance identique à celle enregistrée en 2016.

Inscriptions en vigueur

• Pour une deuxième année consécutive, le nombre de propriétés à vendre s’est replié en 2017 : on en dénombrait (27 635) sur le système Centris®, soit une forte diminution de 13 %.
• C’est pour l’unifamiliale que la baisse de l’offre a été la plus marquée : elle était de l’ordre de 17 %, comparativement à des diminutions de 14 % pour le plex et de 9 % pour la copropriété.
• Sur le plan géographique, ce sont les secteurs de Saint-Jean-sur-Richelieu (-18 %) et de l’île de Montréal (-17 %) qui ont accusé les plus fortes baisses.

Conditions du marché

• De manière générale, 2017 se termine dans des conditions du marché nettement à l’avantage des vendeurs pour l’unifamiliale et les plex. La rareté de l’offre d’unifamiliales par rapport à la demande est indéniable sur l’île de Montréal, où le nombre de mois d’inventaire est légèrement inférieur à 5.
• Pour la copropriété, le portrait diffère puisque, globalement, les conditions du marché sont équilibrées. Néanmoins, de plus en plus de secteurs centraux confèrent désormais un avantage aux vendeurs lors de la négociation.

Source : http://www.fciq.ca

Lire le rapport complet : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl.pdf

English version : http://www.fciq.ca/pdf/bar/201704-bar-mtl-en.pdf

Montreal Real Estate market – buy now or risk to be late.

The recent article in Montreal Gazette confirm once again what I am constantly saying to my clients : buy now or you will miss your chance. Year after year Montreal home ownership became less and less affordable.

Montreal’s real estate market is about to become a game of musical chairs, and anybody who doesn’t get a seat soon could be left standing, permanently.

An average person with average income can still entertain thoughts of buying a house downtown. The slow but steady increases in prices – two, three, four per cent – can act like the proverbial slowly heating water the frog doesn’t know is about to boil. But if you’re renting now, and figure you’ll buy a house someday when that next promotion comes through or the baby’s born, it might be too late.

All the signs of a market on the brink of unaffordability are there. Worries about a saturated condo market sagging in 2015 turned around sharply in 2016. Montreal registered the lowest unemployment rate in 30 years last December, and immigration levels are skyrocketing, with the first six months of 2016 – the latest figures available – outstripping all of 2015.

And foreign investors are almost certainly already on their way to the next undervalued, untapped real estate market now that Ontario has imposed a 15 per cent tax on foreign buyers in Toronto as B.C. did for Metro Vancouver. More money drives prices up. So does more people. Put them both together in a city with the obvious and perennial attractions of Montreal, and it might spell the end of the affordable house on the island.

By BERT ARCHER, THE MONTREAL GAZETTE

Read full article : http://montrealgazette.com/

Marché résidentiel. 1er trimestre 2016. +10% dans un an!

Graph of housing marketStatistique des ventes

Le premier trimestre 2016 a connu une hausse de 10% de nombre de vente par rapport au même period de 2015. Avec 10 601 ventes résidentielles c’est le meilleur début de l’année en 4 ans. La plus remarquable croissance de 20% est dans les ventes de plex de 2 à 5 logements. Les ventes des condos et des maisons unifamiliales ont augmenté de 12% et de 8% respectivement. Le marché des habitations haut de gamme toutes catégories confondues de 500 000$ et plus a connu la croissance fulgurante de 21%.

Prix et inscriptions

Les prix médianes des plex et des unifamiliales ont augmenté de 5% et de 2%, à 455 000$ et 285 000 $ respectivement. Les prix des copropriétés dans la région metropolitan de grand Montréal ont baissé légèrement de 1% à 230 000$. Mais sur l’île de Montréal la tendance est au contraire à la hausse. La moitié des condominiums se sont vendus à un prix supérieur à 276 500$ ce qui représente l’augmentation de 4% sur douze mois.

L’offre des plex et des unifamiliales à diminué de 6% et de 8% respectivement. Le nombre des inscriptions pour les copropriétés est demeuré stable.

Conditions du marché

La croissance des ventes et le ralentissement de l’offre ont entraîné un resserrement des conditions du marché de l’unifamiliale et du plex, qui demeurent relativement équilibrées à l’échelle de la région métropolitaine.

 Pour plus de détails consultez: http://www.fciq.ca/

Le marché résidentiel progresse. Février 2016. Home sales push higher.

Selon les statistiques publiées par l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), en février 2016, les ventes résidentielles ont affiché une hausse d’un mois à l’autre pour le deuxième mois d’affilée, à l’échelle nationale.

Faits saillants :

– Les ventes résidentielles réalisées à l’échelle nationale ont augmenté de 0,8 % de janvier à février.
– Les ventes réelles (non corrigées des variations saisonnières) ont augmenté de 18,7 % par rapport aux résultats enregistrés en février 2015.
– Le nombre de nouveaux mandats a progressé de 0,5 % de janvier à février.
– Le marché résidentiel canadien s’est resserré, mais demeure équilibré dans l’ensemble.
– L’Indice des prix des propriétés MLS® (IPP MLS®) a augmenté de 8,5 % d’une année à l’autre en février.
– Le prix de vente moyen au Canada a grimpé de 16,4 % d’une année à l’autre en février, à l’exception de la Colombie-Britannique et de l’Ontario où il a baissé de 1,4 %.

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According to statistics released by The Canadian Real Estate Association (CREA), national home sales recorded a second consecutive month-over-month increase in February 2016.

Highlights:

– National home sales rose by 0.8% from January to February.
– Actual (not seasonally adjusted) activity was up 18.7% compared to February 2015.
– The number of newly listed homes edged up by 0.5% from January to February.
– The Canadian housing market has tightened but remains balanced overall.
– The MLS® Home Price Index (HPI) rose 8.5% year-over-year in February.
– The national average sale price rose 16.4% on a year-over-year basis in February; excluding British Columbia and Ontario, it declined by 1.4%.

Source : https://www.youtube.com