CREA Housing Market Report 9th edt. 2013 / Rapport sur le marché du logement de lACI 9e édt. 2013

 

Ottawa, ON, October 15, 2013 — According to statistics released today by The Canadian Real Estate Association (CREA), national home sales posted a small month-over-month increase in September 2013.

Highlights:

National home sales edged up by 0.8% from August to September.
Actual (not seasonally adjusted) activity came in 18.2% above levels in September 2012.
The number of newly listed homes declined by 1.4% from August to September.
The Canadian housing market has tightened but continues to remain balanced.
The national average sale price rose 8.8% on a year-over-year basis in September.
The MLS® Home Price Index (HPI) rose 3.1% year-over-year in September.

Ottawa (Ontario), le 15 octobre 2013 — Selon les statistiques publiées aujourd’hui par l’Association canadienne de l’immeuble (ACI), les ventes résidentielles ont affiché une légère hausse d’un mois à l’autre à l’échelle nationale en septembre 2013.

Faits saillants :

Les ventes résidentielles réalisées à l’échelle nationale ont augmenté de 0,8 % entre août et septembre.
Les ventes réelles (non corrigées des variations saisonnières) étaient de 18,2 % supérieures aux résultats atteints en septembre 2012.
Le nombre de nouvelles inscriptions a baissé de 1,4 % d’août à septembre.
Le marché canadien du logement s’est resserré, mais il continue de demeurer équilibré.
Le prix de vente moyen au Canada a accusé une hausse de 8,8 % d’une année à l’autre en septembre.
L’Indice des prix des propriétés MLS® (IPP MLS®) a augmenté de 3,1 % d’une année à l’autre en septembre.

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Statistiques de ventes résidentielles. Septembre 2013.

 

Deuxième hausse consécutive des ventes résidentielles en septembre 2013

La Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) a publié  les statistiques de ventes résidentielles de la région métropolitaine de Montréal (RMR). Selon la base de données provinciale Centris® des courtiers immobiliers, 2 393 ventes résidentielles ont été réalisées au cours du mois de septembre 2013, soit une hausse de 8 % par rapport au mois de septembre 2012. Il s’agit d’une deuxième hausse consécutive après une augmentation de 3 % en août dernier.

stat201310fr« Au niveau de la RMR, les trois catégories de propriété ont affiché une hausse des ventes, une première depuis le mois de mai 2012. Le plex est  arrivé en tête, avec une hausse de transactions de 18 % par rapport à septembre 2012 », a déclaré Patrick Juanéda, président du conseil d’administration de la CIGM.

Septembre 2013 a aussi été marqué par une deuxième hausse consécutive des ventes de copropriétés (+13 %). Après avoir été la seule catégorie à afficher une baisse en juillet et une stabilité en août, l’unifamiliale a enregistré une hausse de ventes de 4 % par rapport au mois de septembre 2012.

Avec des hausses respectives de 12 % et de 27 %, l’île de Montréal et la Rive-Sud sont les deux seuls secteurs à avoir affiché une hausse des ventes en septembre 2013. Il s’agit, pour ces deux secteurs, de la deuxième hausse consécutive. « Notons que ces résultats, de prime abord impressionnants, sont à mettre en perspective avec les fortes baisses observées dans ces secteurs en septembre 2012 », a fait remarquer Paul Cardinal, directeur, Analyse du marché, de la Fédération des chambres immobilières du Québec.

Malgré la hausse des ventes, les conditions de marché pour la copropriété ont poursuivi leur détente, en septembre, favorisant les acheteurs dans tous les secteurs de la RMR. Pour l’unifamiliale, les conditions de marché ont été globalement équilibrées, notons toutefois que les acheteurs sont favorisés dans le secteur de Vaudreuil-Soulanges, alors que les vendeurs le sont dans le secteur de Laval. Finalement, pour les plex, les conditions du marché sont demeurées inchangées par rapport au mois dernier, soient équilibrées à l’échelle de la région.

Au 30 septembre 2013, on dénombrait 29 790 inscriptions en vigueur dans le système Centris®, soit une hausse de 12 % par rapport à la même période l’an dernier, et la 37e hausse mensuelle consécutive. L’offre de copropriétés s’est accrue de 16 %, soit une hausse légèrement inférieure aux augmentations observées au cours des récents mois. Pour un deuxième mois consécutif, c’est sur l’île de Montréal que la hausse des inscriptions de copropriétés a été la moins prononcée, de 11 %. À l’opposé, c’est dans la banlieue nord de Montréal (Laval et Rive-Nord) qu’elle a été la plus importante, de 33 %.

Indice des prix des propriétés

Voici les données pour septembre 2013 :

indprix

Source : Centris.ca

Avoir une maison, un rêve de plus en plus inaccessible?

Homes in a Bubble.L’achat d’une première maison s’avérera de plus en plus difficile pour les ménages québécois; c’est la mise en garde faite jeudi par l’Association provinciale des constructeurs d’habitations du Québec (APCHQ).

L’Association lance une vaste campagne de sensibilisation sur ce problème et appelle le gouvernement du Québec à instaurer une politique nationale de l’habitation.

En 2001, il fallait environ cinq ans pour accumuler la mise de fonds obligatoire, d’après l’APCHQ. Désormais, les Québécois doivent compter une dizaine d’années pour parvenir à amasser cette mise de fonds.

Au nombre des irritants qui empêchent les Québécois de pendre la crémaillère à titre de propriétaires, l’APCHQ cite trois facteurs :

  • Le coût croissant des terrains;
  • L’augmentation des frais de développement;
  • La hausse des taxes.

À Montréal, la valeur des immeubles résidentiels sur l’île de Montréal a bondi de 21 % depuis juillet 2009, selon le nouveau rôle d’évaluation déposé mercredi.

L’accès à la propriété échappe à un nombre grandissant de Québécois, une situation qu’avaient mise en lumière, plus tôt cette semaine, des données compilées par Statistique Canada. Le Québec affiche en effet le taux le plus bas d’accès à la propriété avec 61 %. À titre de comparaison, Il est de 71,4 % en Ontario. Au Nouveau-Brunswick et à Terre-Neuve-et-Labrador, plus des trois quarts des ménages sont propriétaires.

De son côté, la Banque Royale (RBC) affirmait cette semaine que la hausse des taux hypothécaires et la progression des prix des habitations obligent grand nombre de Canadiens à se serrer la ceinture pour éponger les coûts croissants associés à la propriété.

Fondée en 1961, l’Association provinciale des constructeurs d’habitations du Québec est un organisme privé à but non lucratif et à adhésion volontaire, qui transige avec plus de 17 000 entreprises, réunies au sein de 15 associations régionales.

Source : http://www.radio-canada.ca/

Montréal – valeur des propriétés à la hausse.

Radio-Canada.ca – Reportage du mercredi 11 septembre 2013

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La valeur des immeubles résidentiels sur l’île de Montréal a bondi de 21 % depuis juillet 2009, selon le nouveau rôle d’évaluation déposé mercredi. Les propriétaires craignent une hausse importante du taux de taxation. François Cormier nous explique.

ALERTE HYPOTHÉCAIRE

La Banque Royale du Canada hausse ses taux hypothécaires résidentiels 3 ans et 5 ans

La Banque Royale du Canada vient d’augmenter ses taux hypothécaires de 0,20 point de pourcentage. Le taux affiché par la Banque Royale pour un emprunt hypothécaire avec un terme de 5 ans est maintenant de 5,34 % alors que celui pour un terme de 3 ans a atteint 3,95 %.

Les principales institutions financières du pays devraient elles aussi emboîter le pas et répliquer la manœuvre.

Source : Banque du Canada et Cannex

Pour connaître les taux hypothécaires des différentes institutions financières canadiennes, veuillez consulter le site de CANNEX (sous « Mortgages » dans le menu de gauche).

 


Précisions sur les taux hypothécaires

Comme leurs noms l’indiquent, les taux variables font l’objet de réajustements en fonction des fluctuations des taux d’intérêt préférentiels des institutions financières, et les taux fixes, eux, demeurent inchangés pendant toute la durée du terme. Le terme d’un taux hypothécaire, qui peut aller de 6 mois à 10 ans, correspond à la durée pendant laquelle le taux fixé sera en vigueur.

Les taux suivis dans notre alerte hypothécaire sont  les taux affichés (ou administrés). Généralement, les taux administrés, qui peuvent très souvent faire l’objet d’une négociation, sont supérieurs aux taux effectivement pratiqués par les institutions financières.

Les taux hypothécaires et le marché de la revente au Québec

Le niveau des taux hypothécaires a un impact important sur le marché de la revente de par son influence sur le coût d’accès à la propriété et l’abordabilié du marché. Des taux hypothécaires faibles (élevés), en réduisant (en augmentant) les mensualités et le coût total d’un prêt hypothécaire, permettent d’attirer un plus grand (petit) nombre d’acheteurs et se traduisent donc par une activité plus (moins) importante sur le marché de la revente. Les taux hypothécaires influencent également les prix sur le marché, puisque avec des taux faibles (élevés), qui se traduisent par des mensualités moindres (plus importantes), les acheteurs potentiels sont capables d’acquérir une propriété dont le prix est plus (moins) élevé.

Source : http://www.fciq.ca