Marché immobilier. 2E TRIMESTRE DE 2018.

Le marché a conservé son dynamisme au deuxième trimestre de 2018 :

• Ainsi, 14 771 propriétés résidentielles ont changé de mains dans l’ensemble de la RMR, soit 4 % de plus que le nombre observé à la même période un an auparavant.
• Cela fait désormais 16 trimestres que les ventes résidentielles ne cessent de croître dans la région.
• La copropriété demeure le segment le plus dynamique avec une hausse de 13 % (5 120), tandis que les ventes de plex (1 332) ont enregistré une timide augmentation de 1 %.
• En revanche, les ventes d’unifamiliales (8 301) ont reculé (-1 %) pour la première fois depuis le deuxième trimestre de 2014.
• Le prix médian a continué de croître pour l’unifamiliale (322 509 $) et la copropriété (253 000 $), avec une hausse de 3 %. Le prix médian des plex de deux à cinq logements (510 000 $) a
également poursuivi sa progression (+7 %).
• À l’instar du trimestre précédent, les secteurs de l’île de Montréal et de Vaudreuil-Soulanges se sont démarqués en affichant les plus fortes hausses du prix médian des unifamiliales (+7 % et +12 % respectivement).
• Ces deux secteurs se sont également distingués par les plus fortes progressions du prix médian des copropriétés, c’est-à-dire de 5 % pour l’île de Montréal et de 6 % pour Vaudreuil-Soulanges.
• En moyenne, un peu plus de 24 000 propriétés résidentielles étaient affichées dans l’ensemble de la RMR sur le système Centris d’avril à juin. Il s’agit d’une diminution de 17 % et du onzième recul trimestriel consécutif à ce chapitre.
• La baisse des inscriptions en vigueur a été particulièrement prononcée pour les unifamiliales (-14 %) et les copropriétés (-22 %). Les plex de deux à cinq logements ont également vu leur offre se tarir, mais dans une moindre mesure, avec une diminution des inscriptions de 6 %. C’est l’île de Montréal qui a enregistré la plus forte contraction de l’offre, soit une diminution de 20 % du nombre de propriétés résidentielles à vendre.
• Les délais de vente moyens ont continué de se raccourcir : en moyenne, il fallait respectivement 73 jours (-11), 95 jours (-14) et 71 jours (-10) pour vendre une unifamiliale, une copropriété et un plex dans l’ensemble de la RMR.

Source : https://www.fciq.ca

How real estate feeds the Canadian economy. Macleans.


Real estate is more important to the Canadian economy than you think. Here’s why. Source : Macleans.ca

Canadians aren’t ready to give up on real estate related economic growth. Statistics Canada released final Gross Domestic Product (GDP) numbers for 2017. The Canadian economy squeezed out a gain for the year. Nearly a fifth of those gains came from real estate related industries. Despite talk of a slowing real estate market, over a fifth of GDP still comes from real estate and related industries.

Real estate played a huge roll in driving GDP growth over the past year. December’s numbers show a $55.96 billion increase from the year before. Breaking that number down, $10.73 billion of the increase was related to the FIRE (Finance, Insurance, and Real Estate) segment. This means FIRE represented 19.18% of growth. StatsCan analysts noted the mortgage stress tests, but the ratio is actually lower than it has been recently. So we’re not seeing a large spike due to people squeezing in before stress testing became mandatory.

Source : https://betterdwelling.com/

Montréal est bien différant du reste du Québec.

L’année 2017 a été exceptionnelle en ce qui concerne les ventes de propriétés immobilières. Le secteur de la copropriété et la grande région de Montréal ont été particulièrement dynamiques. La croissance de l’emploi et celle de la population ont permis de soutenir le marché, malgré les resserrements hypothécaires appliqués à la fin de 2016.

Le contexte est légèrement différent en 2018 avec des restrictions hypothécaires supplémentaires, des hausses de taux d’intérêt et un taux de chômage très bas en début d’année qui limitera la croissance de l’emploi au cours de l’année.

Avec tous ces changements, l’année 2018 débute plutôt au ralenti dans plusieurs secteurs. Par contre, historiquement, le premier trimestre est celui où l’on compte le moins de transactions publiées au Registre foncier du Québec. Il faudra donc attendre encore quelques mois afin de voir quelles seront les tendances exactes cette année.

Bref, le marché immobilier montréalais se porte bien et la croissance des ventes perdure. Par contre, dans bien des régions le portrait est très différent. Les augmentations de taux d’intérêt, les restrictions hypothécaires et une croissance de population plus faible que dans la RMR de Montréal (voire même une baisse de population dans certaines régions) limitent la demande de logements et font donc reculer les ventes.

En ce qui concerne les prix médians pour l’ensemble du Québec, ils continuent de croître grâce, entre autres, à l’augmentation des ventes à Montréal, un marché généralement plus cher. Le prix médian des unifamiliales au Québec s’est établi à 245 000 $ au premier trimestre en hausse de 5 %. Pour les copropriétés, le prix médian a grimpé à 250 000 $ ce qui représente une augmentation de 3 %.

Article complet : http://www.lesaffaires.com/

Les gagnants du tirage 27 Janvier 2018. The winners of the draw January 27, 2018.

Le 27 Janvier 2018 le tirage au sort des prix pour mes clients a eu lieu au restaurant “ERMITAGE”.

On January 27, 2018 the draw of prices for my clients took place at the restaurant “ERMITAGE” .

Et voici les noms des gagnants! / And here are the winners!

winners-2018-01-27

M. Igor S. a gagné le premier prix / won first prize$ 1000.

Egor Y., Nazar G. et Andrey B. ont gagné les prix / won the prizes$ 100.

Félicitations aux gagnants! Le prochain tirage aura lieu le 07 Juillet 2018. Pour participer vous n’avez que vendre ou acheter votre propriété avec mon aide jusqu’au 30 juin 2018.

Congratulations to the winners! The next draw will take place on July 07, 2018. For a chance to win a prize you have to buy or to sell your property with me before Juin 30, 2018.

Montreal Real Estate market – buy now or risk to be late.

The recent article in Montreal Gazette confirm once again what I am constantly saying to my clients : buy now or you will miss your chance. Year after year Montreal home ownership became less and less affordable.

Montreal’s real estate market is about to become a game of musical chairs, and anybody who doesn’t get a seat soon could be left standing, permanently.

An average person with average income can still entertain thoughts of buying a house downtown. The slow but steady increases in prices – two, three, four per cent – can act like the proverbial slowly heating water the frog doesn’t know is about to boil. But if you’re renting now, and figure you’ll buy a house someday when that next promotion comes through or the baby’s born, it might be too late.

All the signs of a market on the brink of unaffordability are there. Worries about a saturated condo market sagging in 2015 turned around sharply in 2016. Montreal registered the lowest unemployment rate in 30 years last December, and immigration levels are skyrocketing, with the first six months of 2016 – the latest figures available – outstripping all of 2015.

And foreign investors are almost certainly already on their way to the next undervalued, untapped real estate market now that Ontario has imposed a 15 per cent tax on foreign buyers in Toronto as B.C. did for Metro Vancouver. More money drives prices up. So does more people. Put them both together in a city with the obvious and perennial attractions of Montreal, and it might spell the end of the affordable house on the island.

By BERT ARCHER, THE MONTREAL GAZETTE

Read full article : http://montrealgazette.com/